Fin janvier, France Football faisait état du litige qui oppose actuellement Frédéric Antonetti au Stade rennais. En cause, comme l’a ensuite expliqué Ouest-France, une prime de 480 000 euros que l’entraîneur corse réclame à son ancien employeur, correspondant à quatre mois de salaire pour les quatre années consécutives passées par celui-ci sur le banc du club breton (un mois de salaire par an). Une disposition prévue par la charte du football français.
Faute d’avoir trouvé un accord amiable devant la commission juridique de la Ligue de Football Professionnel, Frédéric Antonetti et le Stade rennais vont désormais se retrouver devant les prud’hommes, indique Le Parisien, qui précise que, contactés, les dirigeants bretons n’ont pas souhaité faire de commentaire.