Samedi 3 mai, le Stade rennais affrontera Guingamp en finale de la Coupe de France, dans une affiche identique à celle de 2009, quand Rennes s’était alors incliné 2 buts à 1. Un souvenir que Frédéric de Saint-Sernin décrit comme le « pire moment de [sa] carrière professionnelle » et « dont la cicatrice n’est toujours par refermée ».
Pourtant, cinq ans après, « le contexte du Stade rennais n’est plus celui de 2009 où il y avait des éléments dissonants en interne. C’était difficile à gérer. Aujourd’hui, il y a plus de cohérence et de liant au sein du club », explique le président du SRFC, interrogé par Ouest-France. Une référence aux propos acerbes tenus juste après la rencontre par l’entraîneur d’alors, Guy Lacombe, à propos duquel Frédéric de Saint-Sernin déclarera ensuite sur son passage à Rennes qu’« il n’[avait] pas accepté la hiérarchie ».