Le Stade rennais affrontera Sochaux demain soir, et deux de ses anciens pensionnaires : Diego Michel et Dalangunypole Gomis. Un match particulier également pour Oswald Tanchot, passé par Laval et Vitré.
C’est la routine d’un club formateur habitué à sortir plusieurs talents passés professionnels, le Stade rennais retrouvera des anciens de la maison lors de son déplacement dans l’Est, à Sochaux-Montbéliard.
Ce sera d’abord le cas pour Dalangunypole Gomis, défenseur de 19 ans passé cet été de Rennes à Sochaux. Barré par la concurrence en réserve, il n’était pas passé professionnel et arrivait donc en fin de cycle au SRFC où il avait effectué sa formation. Au FCSM, il a pleinement retrouvé une place de titulaire, souvent aligné au poste de latéral gauche, mais aussi en central gauche. Contre le Red Star ce week-end, il était cependant absent, figurant parmi les blessés ou en reprise.
Cela fait lui 7 ans qu’il a quitté Rennes pour voler vers de nouveaux horizons. Né à Rennes, joueur de Châteaugiron puis formé au Stade rennais et passé par la TA, Diego Michel a connu Vannes, le Red Star puis Versailles avec qui il a vécu la formidable épopée de Coupe de France il y a deux ans.Il se confiait alors à SRO sur son passage à au SRFC. « C’est là où le foot a commencé pour moi, où j’ai appris les bases techniques, où j’ai pu évoluer dans mon jeu, m’améliorer. C’est grâce à ce club si j’en suis là où je suis aujourd’hui. » Titulaire à Sochaux, auteur de 5 buts et 2 passes décisives en 22 apparitions, il a inscrit le premier but du FCSM face à Reims au tour précédent.
Il n’est lui jamais passé par le Stade rennais, mais y a passé du temps tout de même, aperçu notamment fréquemment autour du terrain de la Piverdière. Né en Mayenne, Oswald Tanchot a été formé au Stade Lavallois, y a joué avant de connaitre plusieurs clubs du coin et surtout La Vitréenne, où il a joué avant de devenir entraineur. Passé aux commandes du Poiré-sur-Vie, du Havre puis d’Amiens avant une expérience en Grèce, il officie sur le banc de Sochaux depuis juin.
CondateFan
5 février à 12h36Et Tanchot comme une bouillotte sur les jeux de mots foireux je m’abstiendrai cependant d’émettre le moindre commentaire sur le choix de papa et maman Gomis. En revanche, comment, et même par un temps chaud lavalois , peut on donner le prénom d’un assassin de président américain à son gamin ?
Un présage ? Une envie de flinguer le parcours rennais en coupe de france ?
En tout cas le crime serait presque Harvey...
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