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Julien Féret en douze gestes

Kaliayev 28 juin 2014 à 13h40 24 commentaires

Transferts. Arrivé de Nancy à l'été 2011, Julien Féret a quitté une seconde fois le Stade rennais pour la Normandie, en s'engageant avec Caen. À Rennes, le Briochin est populaire auprès des supporters, qu'il a régalés avec un jeu alliant élégance et technicité. Retour sur ses trois saisons au sein du club breton avec les douze gestes qui auront marqué son passage.

28 juillet 2011 : Rustavi - Stade rennais (2-5)

L’aventure de Julien Féret au Stade rennais commence le 28 juillet 2011. Le club inaugure alors sa nouvelle campagne européenne contre le FC Rustavi, au sud-est de la Géorgie. Le Costarmoricain contribue à la victoire en inscrivant son premier but sur coup-franc, une de ses spécialités, et ce alors que les bons tireurs de coups de pied arrêtés se font rare depuis quelques années sur les bords de la Vilaine. Julien Féret offre alors une vraie alternative, voire un bol d’air, à une équipe qui peinait à renverser certains matchs. Il ne s’arrête pas là puisqu’il marque lors des deux rencontres suivantes : à nouveau contre Rustavi pour le match retour, ainsi que lors de la 1re journée de championnat face à Dijon.

26 novembre 2011 : Stade rennais - Évian TG (3-2)

Les Rennais affrontent Evian pour la 15e journée de Ligue 1 et se positionnent à cette époque juste derrière le podium. Féret en profite pour inscrire son premier doublé au club. L’ouverture du score reste un chef-d’œuvre : le meneur rennais part du milieu de terrain et dribble quatre joueurs savoyards avant de piquer son ballon juste devant le gardien.

17 novembre 2012 : PSG - Stade rennais (1-2)

Il s’agit de LA victoire historique contre le PSG. Costil vient d’être expulsé, les deux équipes sont encore à égalité. Le Stade rennais se voit alors offrir un coup-franc intéressant et Féret remarque un petit espace exploitable à droite du mur parisien. Son tir rase la pelouse pour se loger à la limite du poteau. La précision du droitier est impressionnante, et Sirigu ne peut apprécier la trajectoire du ballon à temps. Rennes vient de prendre l’avantage face à l’ogre parisien, et le gardera jusqu’à la fin.

29 novembre 2012 : Stade rennais - Troyes (2-1)

On reconnaît les grands joueurs à leur capacité à déstabiliser leurs adversaires en jouant des deux pieds, et ce but montre combien Féret est précieux dans les transmissions de balle et le jeu breton : la roulette ravit les supporters présents, pivotant autour du ballon avec son pied gauche pour le remettre quasi-instantanément du droit. Féret récupère de nouveau le ballon, le conserve d’une hargne guerrière jusqu’aux abords du but et offre une passe décisive à Pitroipa qui n’a qu’à couper la trajectoire pour le faire rentrer.

2 décembre 2012 : Troyes - Stade rennais (2-3)

La baraka continue contre Troyes quelques jours après. Le Stade rennais est cependant mené en fin de rencontre. Féret vient d’entrer en jeu et fait encore la démonstration de toute son habileté pour décocher une frappe du pied droit. Son tir enroulé vient battre le gardien.

8 décembre 2012 : Stade rennais - Brest (2-2)

Lancé en profondeur par Pajot, Féret montre une fois de plus son aisance pour trouver les espaces. Alors qu’Erding est démarqué face à un but découvert, le Briochin ose dribbler le gardien pour tirer dans un angle très fermé. Habituellement plutôt réservé sur ses célébrations, Féret exulte après son geste réussi. L’audace paie et permet à Rennes de reprendre l’avantage face à Brest.

14 décembre 2012 : Stade rennais - VAFC (2-0)

Un mois après l’épisode parisien, Féret confirme qu’outre le fait de marquer des buts, il est aussi capable d’en offrir régulièrement à ses coéquipiers. Sur celui-ci, il efface deux Valenciennois avant de transmettre la balle en bout de course sur un extérieur du droit. Pitroipa n’a plus qu’à conclure. Le talent de Julien Féret est alors pleinement mis en valeur dans une équipe au meilleur de sa forme.

16 janvier 2013 : Stade rennais - Montpellier (2-0)

Rennes joue une demi-finale de Coupe de la Ligue à domicile. Toute la ville est derrière l’équipe pour une qualification. Le Stade rennais est encore dans une bonne dynamique à ce stade de la saison, et gère ce match à la perfection. Dès l’entame, les Rennais mettent la pression, et Féret offre un nouvel espoir de finale dès la 7e minute. Il perfore la défense héraultaise et fusille Jourdren à bout portant. Le club empoche son ticket pour le Stade de France, mais cela n’empêchera pas l’équipe de s’effondrer une nouvelle fois dans les mois suivants. Le début de la fin pour le Briochin.

9 mars 2013 : Stade rennais - Saint-Étienne (2-2)

Cette saison 2012-2013 devient plus difficile. Le Stade rennais marque le pas, mais un autre but plein de classe et d’intelligence de la part du milieu offensif vient égayer le stade de la Route de Lorient. Face à Saint-Étienne, on ne donne pourtant pas cher des Bretons, mais Féret réussit à se faire oublier de la défense stéphanoise. L’appel est immanquable pour Pitroipa, qui lui sert le ballon dans la course. Féret se retrouve seul devant Ruffier, lui fait croire à une frappe sèche, mais le geste est en fait très mesuré et plein de maîtrise et le lob finit dans le but adverse. C’est la dernière étincelle d’une équipe rennaise déjà en panne de victoire depuis trois matchs, et qui va connaître une série de six défaites consécutives.

13 avril 2013 : Evian TG – Stade rennais (4-2)

Une semaine avant la finale de Coupe de la Ligue contre Saint-Étienne, il est impératif pour l’équipe de se redonner confiance : la dernière victoire remonte au 9 février ! Menés dès le début de partie, les Rennais retrouvent un peu d’espoir grâce à Féret. Celui-ci reçoit la balle dans la surface, prend à contre-pied son vis-à-vis par un contrôle du droit, frappe du gauche et égalise ! Son aisance technique est encore déterminante, mais ce n’est malheureusement pas suffisant et les Rennais seront finalement battus.

27 avril 2013 : Stade rennais - Brest (2-0)

Depuis le match nul contre Saint-Étienne, les Rennais ont inscrit seulement trois buts, dont deux par Julien Féret. Jusqu’au bout, le Briochin donne le maximum, même s’il paraît parfois quelque peu émoussé sur le terrain, que ce soit dans ses choix ou dans l’impact physique. La fin de saison est plus que morose. Rennes ne gagne plus et peine encore plus à glaner des points. À Brest, les hommes de Frédéric Antonetti vont cependant sceller le sort de leur adversaire, condamné à la Ligue 2. Féret est l’auteur d’un coup-franc millimétré, une offrande pour Montaño qui envoie le ballon dans les filets. Mais cette fin de saison devient anecdotique : club, supporters et joueurs sont marqués par les deux années passées. Féret, avec Pitroipa et Alessandrini, fait partie de ceux qui ne reviendront plus au niveau montré lors de cette saison, et notamment lors de l’automne 2012.

4 janvier 2014 : Stade rennais - Valenciennes (1-1)

Miné par les blessures et auteur de performances décevantes sur le terrain, Féret fait les frais des choix du nouvel entraîneur Philippe Montanier, et vit une saison 2013-2014 quasi-blanche. L’équipe est trop irrégulière pour que Féret puisse en être son chef d’orchestre. Il est titularisé à 11 reprises, mais n’est jamais décisif, à l’exception de son unique - et dernier sous les couleurs rennaises - but de la saison, lors du match de Coupe de France contre Valenciennes, au cours duquel il concrétise un penalty. Une triste fin pour un joueur impliqué dans 42 buts depuis son arrivée (27 buts inscrits, 15 passes décisives).

24 commentaires

  1. kangourou
    28 juin 2014 à 14h04

    Un joueur que je regretterai toute ma vie...
    Il avait tout : la justesse, l’efficacité, la technique, la gentillesse et la fibre régionale.
    Quel gâchis monstrueux de ne pas voir que ce joueur était hors norme ...

    Mais je préfère retenir les deux saisons fabuleuses où il a transformé le jeu rennais après une saison 2010-2011 exécrable à ce niveau-là.

    Assurément le plus beau joueur que j’ai vu évolué sous le maillot rennais.

    Merci Julien !

  2. SupporterSRFCforever
    28 juin 2014 à 15h50

    La saison 2010-2011 exécrable ?!! Je t’invite a retourner voir les résultats sur le net car c’est peut-être l’une des meilleurs saisons dans l’histoire du club avec 25 journées sur le podium, aucune autre équipe n’a fais mieu cette saison là. Mais une troisième place qui nous a échappé a partir de la 29e journée pour finir 6e au classement.

  3. vincent
    28 juin 2014 à 16h18

    Aucun regret , son départ etait logique , il a fait une bonne saison et deux saisons ou il est passé au travers....
    Joueur dit technique mais pas combatif, il est du meme gabarit que Pitroipa, Kembo Ekoko etc...
    Si il était si bon, ce n est pas n est pas à Nancy, Rennes ou Caen qu’il serait allé...mais dans des club plus huppé.

  4. Mandjana
    28 juin 2014 à 16h33

    Le joueur le plus classe passé au club, ses buts contre Troyes, Evian, Brest et Sainté sont fabuleux. Bonne route juju :(

  5. vincent
    28 juin 2014 à 18h34

    Montré ses 12 plus beau but sur trois saisons...d ailleurs il n en n a pas mis beaucoup plus...c est un peu l’arbre qui cache la foret...c est l’époque ou l on recrute des joueurs sur cassettes, on voit les buts on se dit c est un top joueur et dans la réalité on est vite déçu. Pour moi Féret c est un peu ça...
    La il etait libre, pas de transfert, il aurait pu aller à Bordeaux, marseille, lille ? non il n y a sans doute eu que Caen a lui proposer un contrat.

  6. Georges T Newman
    28 juin 2014 à 20h02

    @SupporterSRFC :

    Exécrable au niveau du jeu, pas des résultats. Si on reste si longtemps sur le podium, c’est parce qu’on joue ultra-défensif, parce que pour l’attaque il n’y avait pas grand chose. En 2011-2012, l’arrivée de Pitroipa et Féret, avec les progrès de Kembo en font qu’on a montré beaucoup plus de choses en attaque, avec quelques belles rencontres de ce point de vue là.

  7. kangourou
    28 juin 2014 à 23h30

    C’est évidemment au niveau du jeu que je parle SupporterSRFCforever tu n’as pas bien lu ma phrase.
    La saison 2010-2011 souviens toi c’est Mandjeck-Doumbia-Dalmat alignés par moment ensemble, un Leroy qui n’est plus titularisé par Antonneti, un Lemoine qui ne joue plus, la purge intégrale à Bordeaux, une équipe hyper physique qui réussit des coups à l’arrache sur des erreurs de l’adversaire à Arles (avec aussi l’appui du vent) ou à Montpellier.
    Il n’y avait que M’Vila qui a d’ailleurs fait une saison énorme pour distribuer de bons ballons.

    Féret a des stats énormes en 2 saisons : 27 buts pour un n°10 c’est pas donné à tout le monde ; ne pas le reconnaître c’est être borné ou pas objectif. Les peu de fois ou il a été titularisé cette saison, c’était en milieu relayeur, à un poste qui ne lui correspond pas parce qu’il n’a pas le volume physique.
    Il n’a jamais eu sa chance avec Montanier.

  8. vincent
    29 juin 2014 à 00h01

    Féret c est du passé, les deux dernières saisons avec lui, le stade rennais a failli descendre, on a perdu deux finales de coupe de France....donc passons à l’avenir , au futur du stade rennais.
    Au moins à Caen , Féret a une chance d etre titulaire.

  9. marcelaubour64
    29 juin 2014 à 06h55

    Entièrement d’accord avec VINCENT, grande classe technique, élégant, comme pouvait l’être PAGIS aussi, mais s’ils n’ont pas percé dans de grands clubs c’est que le mental ne doit pas suivre, la compétition pour un poste en interne, la remise en question, la pression du résultat.......
    C’est sympa d’avoir encouragé « Juju » dans ces moments là, mais le foot, le sport de haut niveau c’est pas sympa....
    Avec GOURCUFF dont les qualités impressionnent même l’entraineur brésilien actuel, on en a malheureusement un bel exemple.

  10. 29 juin 2014 à 09h13

    Ah au temps pour moi !il y avait aussi les débuts de brahimi.

    Du coup je m’interroge un peu sur l’éternel débat, les résultats ne priment-ils pas sur le jeu ?
    Certes nous aimerions tous avoir du « beau » jeu, du spectacle, un véritable show lorsque nous regardons le stade rennais mais aujourd’hui qu’est ce que nous désirons le plus ? Avoir un titre et je pense que beaucoup serait près a sacrifier le jeu si cela permettait d’avoir un titre en fin de saison.

  11. 29 juin 2014 à 10h05

    @Vincent, tes vraiment le footix de base... Trouver Feret mauvais... Dans la technique, la vision du jeu, le flair, c’est l’un des meilleurs de ligue 1. Comment peux tu dire que ses stats sont mauvaises ? Regarde les chiffres, une dizaine de buts et passes décisives en moyenne par saison. Certes, il est passé à côté la saison dernière, mais il c’est blessé au mauvais moment, et il n’entrait pas dans le système de jeu de Montanier. C’est un 10, pas un 6 comme il a été utilisé en début de saison, c’est pas non plus un joueur de couloir... Et lui même c’est remit en question avec sa saison.
    Et concernant le choix de Caen, c’est familial, il a 31 ans et cherche certainement un projet sportif sur le court terme. Il avait des propositions de St. Étienne, Lens, Lorient ou encore Reims, donc réfléchit avant d’écrire des âneries. Tes commentaires qui n’apportent rien au débat, ça devient lassant...
    BENJ.

  12. kurtlars
    29 juin 2014 à 10h21

    Merci au site SRO de rendre hommage à ce fabuleux joueur qu’est Féret. Il possède de nombreuses qualités chères aux supporters du Stade Rennais : talentueux, beau à voir jouer, capable de gestes de grande classe, pas un mot plus haut que l’autre, breton et fier de porter les couleurs du Stade. Il suffit de voir la clameur du public lors de sa dernière sortie au Stade de la Route de Lorient et la vive émotion de Féret pour être sûr que Féret avait le Stade Rennais dans ses tripes.
    Après, l’année passée aux côtés de Montanier ne s’est pas bien passée. Cela reste un mystère pour moi car Montanier est à priori un adepte du beau jeu et qui mieux que Féret symbolise le beau jeu ? Je me force à croire que Féret était moins bien physiquement cette dernière saison et qu’il ne rentrait pas dans le système de jeu de Montanier mais je reste persuadé qu’il aurait pu rendre service s’il avait été placé à son vrai poste.
    Enfin bon, le passé est le passé. Que Féret trace sa route au Stade Malherbe en montrant aux normands sa classe naturelle. J’espère qu’on l’accueillera à la maison la saison prochaine avec tous les bravos qu’il mérite.

  13. volto
    29 juin 2014 à 12h14

    Féret restera à jamais dans notre coeur. L’un des plus beaux joueurs jamais vu à Rennes. Montanier l’a détruit en le faisant jouer 6 en début de saison. La preuve il a été monstrueux pendant deux saisons.
    Montanier pour protéger kadir, lui a donné un rôle défensif alors que c’est un joueur qui caresse le ballon ; Mettez Messi à défendre et tout le monde dira que ce joueur est fini.

  14. mistic
    29 juin 2014 à 12h59

    Ce n’est pas un hasard si la décheance de Féret intervient au moment où Montanier arrive au club.
    Comment on peut donner placer Féret en milieu défensif alors qu’il rayonne dans la distribution du jeu ?
    Moi j’ai ma petite idée. Il voulait laisser le champ libre à Kadir. Tout le monde sait que Kadir est son chouchou depuis Valenciennes.

  15. SupporterSRFCforever
    29 juin 2014 à 14h02

    Le poste de 9h13 vient de moi également.

  16. vincent
    29 juin 2014 à 14h31

    Place aux nouvelles recrues, aux jeunes de talent comme Doucouré pour une saison qui doit nous faire oublier les deux dernières saisons...avec des joueurs qui n avaient pas le niveau ligue 1.
    Il ya 5 recrues de joueurs de champs, un petit résumé sur eux serait le bienvenu.

  17. Tonton46
    29 juin 2014 à 14h55

    100% OK avec Kurtlars.
    Féret, c’est la classe sur le terrain... Un régal quand il est physiquement en bonne forme.
    C’est aussi la classe en dehors du terrain, avec des propos sensés dans les interviews. C’est plutôt rare dans le foot pro.
    Merci à lui pour l’ensemble de son oeuvre au Stade Rennais et bon vent à Malherbe.
    Mitigé sur le jugement de Volto : trop facile d’accuser l’entraîneur d’incompétence (il n’aurait jamais mis Féret à la bonne place) et de malhonnêteté (il aurait systématiquement et honteusement avantagé son chouchou Kadir).

  18. bernard35
    29 juin 2014 à 15h11

    Tu as raison volto ! Féret n’est pas devenu un joueur minable en 2 mois. Féret a été victime de Montanier. Pourquoi ? Cela restera un mystère.
    Il ne l’a pas fait jouer à son véritable poste.
    Même chose pour Roméro. Il ne lui a jamais donné sa chance. Alors qu’il avait une confiance aveugle en Kadir qui a n’a existé que 3 mois.

  19. SRforever
    29 juin 2014 à 16h06

    C’est évident que Montanier avait le fennec comme chouchou.
    La preuve ? Sans l’avoir vu s’entrainer l’OM le place dans l’équipe réserve.
    C’est un bon joueur pour éviter le rélégation. C’est pourquoi Guingamp s’intéresse à lui.
    Entre lui et Féret il n’y a pas photo je choisis Féret. Féret a toujours clamer son amour pour le stade rennais. La classe sur et en dehors du terrain.
    Mr Féret vous êtes un grand bonhomme. Les supporteurs rennais vous remercient.

  20. eliott
    29 juin 2014 à 18h52

    Il est temps que Montanier passe à l’action. Le seul objectif qu’il se fixe :
    « tous aller dans le même sens ». Il se moque de nous ?
    Avec un tel effectif nous devons être dans les 8 premiers.
    Qu’il arrête d’envoyer des textos et qu’il abandonne son calepin !

  21. Tonton46
    29 juin 2014 à 21h58

    Les propos de certains forumeurs (exit Féret/Kadir chouchou) me ramènent quelques 60 ans en arrière. Dans la cour de récréation, les élèves se lançaient de petites invectives : « c’est toi le chouchou du maître, la hue, la hue ».
    J’imagine la scène à la Piverdière ?!?
    Comment peut-on penser qu’un coach fasse du chouchoutage en L1, à l’encontre des intérêts sportifs (et financiers) existants ?
    Il y a des explications simples à l’année ratée de J.Féret,(même si on peut admettre une petite part de mystère, par manque de communication) : blessures à répétition et donc difficultés à être au point physiquement, obligation faite à l’équipe « d’aller au mastic » pour sauver la place en L1 (c’est pas trop le sport de Féret), difficulté à trouver ses marques dans une équipe remaniée...
    J’ai vainement attendu son retour, match après match, mais de là à penser que Montanier a fait du « chouchoutage »... Pffffuit.

  22. vincent
    29 juin 2014 à 23h18

    Tonton , tu as entièrement raison , surtout que les abscences de Féret dans le jeu , n ont pas commencer à l arrivé de MOntanier....
    Avec Antonetti , rappelez vous de février a mai, le club n a gagné quasi aucune rencontre...et je passe Quevilly etc...et Pourtant Féret jouait...et il était mauvais comme les autres joueurs de l’époque.

  23. 30 juin 2014 à 01h13

    @vincent, tu as parlé de son passage à vide de janvier à mai, sous l’air Antonneti, mais tu as une nouvelle fois la mémoire courte et défaillante, Feret jouait milieu droit, voir gauche, car il y avait pas moins de 10 blessés... Et c’était l’un des plus régulier dans le naufrage... Change de disque, tu es vraiment pénible.
    BENJ.

  24. marcelaubour64
    1er juillet 2014 à 17h54

    Un grand joueur le reste quelque soit l’entraineur à qui il a à faire, il a forcément des affinités et s’épanouit peut être plus avec certains, mais il ne part pas en CFA les 3/4 d’une saison à cause de l’entraineur...FERET avec sa classe et sa technique au-dessus du lot bien exprimée sur un terrain aurait du être titulaire toute l’année avec un tel STADE RENNAIS, MONTANIER n’est pas assez con pour se priver d’un tel potentiel, s’il l’a fait c’est que FERET ne lui offrait plus de garanties suffisantes, avec les blessures qui n’ont rien arrangé évidemment. C’est dommage de devoir se priver de si beaux joueurs mais il y a forcément une raison........

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