Pour Ouest-France, Warmed Omari a évoqué lors d’un entretien sa relation avec Lorenz Assignon, son coéquipier depuis les catégories jeunes.
« La première fois qu’on s’est vu, c’était à une détection du Stade Rennais. J’étais encore à la TA Rennes et lui au pôle espoir de Châteauroux. » se remémore Omari pour Ouest-France.
« Depuis, c’est quelqu’un que je considère maintenant comme un frère parce qu’il a toujours été là. Pendant ma blessure, il a pris des nouvelles pres- que tous les jours. Dans ces moments-là, tu ne t’attends pas trop à grand-chose. Ça m’a fait plaisir et ça m’a rassuré sur le fait que je peux tou- jours compter sur lui. »
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