Stade Rennais Online

Un œil dans le rétro : Patrice Carteron

Rodighiero 1er août 2011 à 15h59 19 commentaires

À quelques jours de la rencontre opposant le Stade rennais au Dijon FCO, pour le compte de la 1ère journée du championnat de France de Ligue 1, Stade Rennais Online vous propose de revisiter la carrière d’une personnalité commune à l’histoire des deux clubs, en l’occurrence celle de Patrice Carteron.

Un parcours linéaire

Fils de mytiliculteur et natif de la petite ville d’Hillion dans les Côtes d’Armor, Patrice Carteron démarre sa carrière de footballeur dans le club local de l’AS Hillion Saint-René. Il est alors vite repéré par le Stade briochin, et gravit les échelons un par un jusqu’à la troisième division. Après une décennie passée dans le cocon du club costarmoricain, Carteron prend ensuite la direction du Stade lavallois, qui lui offre un premier contrat professionnel à l’aube de l’exercice 1992-1993. En Mayenne, le latéral droit impose de suite ses qualités de battant, si bien qu’il réalise une très bonne première saison professionnelle sous le maillot des « Tangos ». Avec vingt-six matches de championnat et deux buts à son actif, Patrice Carteron est la révélation lavalloise de l’année.
Puis, lors de l’exercice suivant, le défenseur costarmoricain effectue des débuts en fanfare. Auteur d’un but lors de la première journée de championnat, disputée le 24 juillet 1993 au stade Francis-Le Basser, ce latéral très offensif permet au club mayennais d’engranger un point face à... l’équipe de Saint-Brieuc, qui découvrait par la même occasion le championnat de seconde division (2-2). Carteron se distingue ainsi comme le « faux-frère » de la soirée. Tout au long de l’année, la puissance de Patrice Carteron fait des ravages sur tous les terrains de Division 2. Il dispute finalement trente-neuf rencontres de Super D2 (championnat à 22 clubs), pour deux buts marqués. Des performances suffisantes pour que plusieurs clubs de l’élite lui fassent des appels du pied. En seulement deux années passées à Laval, le latéral costarmoricain est devenu une figure emblématique du club mayennais.

Patrice Carteron découvre alors la première division à l’orée de l’exercice 1994-1995, en paraphant un contrat de quatre ans avec le Stade rennais. Il effectue ses premiers pas dans l’élite le 29 juillet 1994, lors d’un déplacement dans le « chaudron » de Saint-Étienne (1-1). Défenseur moderne, impeccable, capable de s’installer efficacement au marquage et de remonter le terrain rapidement, Carteron réussit de très bons débuts en D1. Rapidement devenu titulaire indiscutable sur le flanc droit de la défense stadiste, il marque son premier but dans l’élite au soir de la trente-cinquième journée du championnat, lors d’une victoire acquise face au Paris Saint-Germain sur le score de quatre buts à zéro. Un succès qui est synonyme de maintien pour le club breton.
Doté d’un fort tempérament, Carteron obtient de suite la confiance de Michel Le Milinaire, et dispute finalement 34 matches lors sa première saison au sein de l’élite hexagonale. L’année suivante, il s’impose définitivement comme un pilier de la défense rennaise. Dans son couloir droit, le latéral costarmoricain impose sa puissance physique. Rennes enchaîne les bons résultats, et les excellentes performances de Carteron n’y sont pas étrangères. Gaucher rapide et puissant, il ouvre régulièrement des brèches dans le camp adverse, grâce à ses montées explosives.

Dans la foulée, le défenseur costarmoricain fait coup-double le 23 mars 1996, lors de la trente-deuxième journée du championnat. En effet, Carteron marque deux buts et réalise certainement son meilleur match sous la tunique rouge et noire. Rennes l’emporte quatre buts à trois face aux Girondins de Bordeaux, et peut encore croire en une qualification pour la Coupe UEFA. Fort de son premier doublé en D1, Carteron se confie : « J’ai toujours essayé d’apporter quelque chose offensivement mais j’avais tendance à vouloir tout défoncer. J’ai dû travailler beaucoup devant le but pour gagner en calme. Je prends cette réussite comme une récompense ». L’impétueux Patrice Carteron a réalisé une magnifique deuxième saison parmi l’élite, disputant trente-cinq rencontres de championnat pour deux buts. Il veut alors changer d’air, mais le club de la capitale bretonne ne veut pas se séparer de son tonique défenseur.

Stade rennais, saison 1995-1996

Un monument stéphanois

Malgré ses velléités de départ, Patrice Carteron rempile pour une troisième saison consécutive en Ille-et-Vilaine. Percutant et toujours aussi volontaire, il réalise encore une très bonne saison, marquant un but libérateur face à Lille (2-0) lors de la vingt-et-unème journée du championnat, puis contre le RC Lens (2-2) quelques semaines plus tard au stade de la route de Lorient. Tout au long de la saison, le rugueux défenseur costarmoricain ne cessera de gratifier le nombreux public stadiste de ses chevauchées fantastiques. Jouant le plus souvent sur le flanc droit de la défense, Carteron dispute finalement trente-cinq rencontres supplémentaires de première division. Mais après trois années passées à Rennes, le défenseur briochin a choisi sa future destination, ce sera Marseille.
En effet, déjà sollicité la saison précédente par les dirigeants de l’équipe du Vieux-Port, Patrice Carteron veut absolument signer dans le club phocéen, malgré un intérêt prononcé d’Aston Villa. « J’ai donné mon accord. Je veux à tout prix aller à Marseille, insiste Carteron. Je dois compter une centaine de matches en première division depuis mon arrivée au stade. Je pense avoir donné satisfaction dans l’ensemble, même si j’avoue avoir eu quelques difficultés à négocier le début de la saison actuelle. J’ai eu du mal à assimiler l’intersaison. Dans ma tête, j’étais parti de Rennes et j’ai essuyé un gros coup au moral  ». Il avait au passage refusé une prolongation de contrat de deux ans, formulée par les dirigeants stadistes lors de l’exercice 1996-1997.
« Je continue un peu à agir au feeling. Marseille me fait davantage rêver que Monaco ou le PSG. Je sais pertinemment que je devrais gagner ma place mais je me lance un nouveau défi. Si je m’en vais de Rennes, je repartirai de zéro. Je considérerais que j’ai tout à prouver ». Mais Patrice Carteron sait évidemment qu’il n’est pas en fin de contrat, et que Rennes a encore les clés en main. Après un long épisode estival, c’est finalement à Lyon qu’il signe un contrat de quatre ans, pour une indemnité de transfert avoisinant les 6,5 millions de francs (environ 1 million d’euros).

Dans le Rhône, Patrice Carteron joue trois saisons sous les couleurs lyonnaises entre 1997 et 2000. Il y dispute quatre vingt-quatre rencontres de championnat pour cinq buts. Élu par deux fois meilleur latéral droit du championnat avec l’OL, le défenseur costarmoricain joue également dix-sept matches de coupe d’Europe et marque même une fois. Joueur au comportement exemplaire, il n’entre pourtant pas dans les plans de Jacques Santini, et se retrouve également barré par les arrivées de Jean-Marc Chanelet et d’Éric Deflandre à l’été 2000.
Il quitte le club de Jean-Michel Aulas juste avant le début de son hégémonie sur le football français, et rejoint « l’ennemi » stéphanois à l’orée de la saison 2000-2001. Malheureusement, ses débuts dans le Forez sont difficiles. Patrice est rapidement pris en grippe par le public, et est contraint de s’exiler à Sunderland (Angleterre) au mois de mars 2001.

Saint-Étienne descend en Ligue 2 entre-temps, et Patrice Carteron revient au club à la demande de... Frédéric Antonetti. Avec l’ASSE, Carteron dispute un total de cent quarante-deux matches (toutes compétitions confondues) et marque dix-neuf buts. Valeureux capitaine des « Verts » à quatre vingt-treize reprises, Carteron se transforme régulièrement en buteur, malgré son poste de défenseur. Il devient finalement l’un des « chouchous » du public stéphanois, grâce notamment à ses qualités de guerrier. « Cartoche » est un joueur qui ne lâche rien sur le terrain. Il est, durant son périple stéphanois, le pendant de Patrick Guillou sur le côté droit. Après un exercice 2004-2005 où il joue peu (six matches), il rejoint l’AS Cannes en juillet 2005, équipe qui évolue dans le championnat du National.
Sur la croisette, Patrice Carteron évolue successivement défenseur central, à plat, en couverture, puis latéral droit. Il met finalement un terme à sa carrière professionnelle le 22 mars 2007, et intègre le staff cannois où il devient directeur technique en charge du recrutement. Il entraîne également le club de la Bocca lors de l’ultime rencontre du championnat de la saison 2006-2007, puis, lors de l’exercice suivant, reprend les rênes du club à onze journées du terme de la saison, lui évitant une descente en CFA.

En dépit d’une rageante quatrième place et du travail effectué, il est limogé de son poste d’entraîneur la saison suivante. Il rejoint alors Dijon où il devient entraîneur. Patrice Carteron découvre ainsi la Ligue 2 avec le club bourguignon, et peut compter sur des joueurs d’expérience comme Mickaël Isabey ou Éric Carrière. « Touché et flatté » que le club l’ait contacté, l’ancien latéral est rapidement « étiqueté » comme un entraîneur qui prône l’offensive. Patrice Carteron aime l’attaque et construit régulièrement son équipe avec un seul vrai récupérateur, trois milieux de terrains excentrés et deux attaquants. Après être devenu en mai dernier l’entraîneur de la première montée de Dijon en Ligue 1, Patrice Carteron retrouvera au match retour l’enceinte du stade de la route de Lorient, dix-huit années après y avoir fait ses débuts à ce niveau, sous les couleurs rennaises, en 1994.

Parcours :

Joueur :
AS Hillion Saint-René
1988-1992 : Stade briochin
1992-1994 : Stade lavallois
1994-1997 : Stade rennais FC (118 matches, 6 buts)
1997-2000 : Olympique lyonnais
2000 - mars 2001 : AS Saint-Étienne
mars 2001 - juin 2001 : Sunderland AFC (Angleterre, prêt)
2001-2005 : AS Saint-Étienne
2005-2007 : AS Cannes

Entraîneur :
2007-2009 : AS Cannes
Depuis 2009 : Dijon FCO

Sources :
- Archives Ouest France
www.anciensverts.com

Source photos :
srfc.frenchwill.fr

19 commentaires

  1. the miz
    1er août 2011 à 17h51

    Très bon joueur qui aurait mérité une sélection en équipe de France.

    je lui souhaite une grande carrière d’entraîneur !

  2. zoxy35
    1er août 2011 à 22h33

    Moi je le sent pas trop ce match piège a Dijon, cette équipe a cartonné en match de prépa, de plus elle joue a domicile et va se déchiré pour ce premier match, bref prudence les rouges et noirs, allez rennes !!

  3. Léon
    1er août 2011 à 23h58

    « Encore un joueur formé par le Stade Briochin »

    Patrice Carteron a explosé au stade briochin sous la houlette de Denis Goavec, l’entraineur de l’époque qui a amené le stade de la DSR en ligue2 en cinq ans.Patrice Carteron était un joueur généreux, mature et talentueux qui arpentait son couloir sans relâche,bref un latéral moderne !Etant abonné depuis 1971 je le désigne comme le meilleur latéral ayant joué au SR. lorsqu’il a quitté le stade briochin pour le stade lavallois, j’en ai voulu à René Ruello, le Président rennais d’alors et je le lui avais dit qu’il regretterait ses tergiversations.C’est avec un réel plaisir que je vais le revoir comme entraineur avec Dijon et je pense qu’il fera une bonne carrière dans cette fonction (comme Rudy Garcia).... Un élément à suivre pour nos dirigeants.Pour la rencontre de dimanche, nos rouges et noirs ont intérêt à l’aborder en toute humilité,envie et abnégation pour obtenir un résultat.Si Dijon a le même dynamisme que son entraineur( ce club a obtenu des résultats probants lors de ses matchs de préparation), alors il va falloir un très bon SR pour gagner et élever sérieusement le niveau...sinon gare à la désillusion ( se rappeler du holdup réalisé à Arles l’an dernier).

  4. johhnyrep
    2 août 2011 à 00h25

    Entièrement d’accord avec Léon. Patrice Carteron était un joueur exemplaire. Il abattait un travail énorme. Très rapide, sans relâche il alternait avec brio les montés et replis sur son flanc droit.
    Effectivement surement un des meilleurs arrières droits de l’histoire du stade rennais sur ces cinquantes dernières années et aurait mérité quelques sélections en équipe national.
    pour ce qui est de la rencontre contre Dijon , c’est étrange mais ce match, je ne le « sens » pas très bien pour nos stadistes rennais.
    Dijon va vraisemblablement attendre Rennes et planter des contres .

  5. ANONYME35
    2 août 2011 à 06h35

    « je le désigne comme le meilleur latéral ayant joué au SR. »

    alors puisque l’on en est aux césars ......

    Moi je « désigne » pour cette année 2011 au poste du meilleur latéral ayant joué au SR .

    Jocelyn angloma,mario melchiot, anthony réveillère.,,,,,, j’en passe et des meilleurs.....

    Patrice carteron était un joueur sérieux qui abattait du terrain mais de là à dire qu’il est le meillleur latéral ayant évolué au stade.....Hum hum pas trop d’accord ...Son palmares parle pour lui....

    Intertoto en 1997 avec l’Olympique lyonnais
    Champion de France de Ligue 2 en 2004 avec l’ASSE

    ......Mais bon comme on est tous sélectionneur, on a tous le droit d’avoir un avis...

  6. volpone60
    2 août 2011 à 06h43

    Je pense aussi que c’était un bon joueur de L1 , sans plus, mais un grand pro, ce qui est la base pour devenir entraîneur.....

  7. 2 août 2011 à 07h03

    pas trop d’acc avec toi volpone , ce n’était pas un joueur plus pro qu’un autre, c’était un joueur de foot "moderne" dans sa façon de jouer et de gérer sa carrière

    quand il dit supra :

    " J’ai donné mon accord. Je veux à tout prix aller à Marseille, insiste Carteron. Je dois compter une centaine de matches en première division depuis mon arrivée au stade. Je pense avoir donné satisfaction dans l’ensemble, même si j’avoue avoir eu quelques difficultés à négocier le début de la saison actuelle. J’ai eu du mal à assimiler l’intersaison. Dans ma tête, j’étais parti de Rennes et j’ai essuyé un gros coup au moral ». Il avait au passage refusé une prolongation de contrat de deux ans, formulée par les dirigeants stadistes lors de l’exercice 1996-1997.
    « Je continue un peu à agir au feeling. Marseille me fait davantage rêver que Monaco ou le PSG. Je sais pertinemment que je devrais gagner ma place mais je me lance un nouveau défi. Si je m’en vais de Rennes, je repartirai de zéro. Je considérerais que j’ai tout à prouver ». Mais Patrice Carteron sait évidemment qu’il n’est pas en fin de contrat, et que Rennes a encore les clés en main. Après un long épisode estival, c’est finalement à Lyon qu’il signe un contrat de quatre ans, pour une indemnité de transfert avoisinant les 6,5 millions de francs (environ 1 million d’euros).

    à l’arrivée on constate quoi ? Que déjà à cette époque ces hommes là étaient des " gamins capricieux" , je signe, je signe pas , c’est le club de ma vie, si j’y vais pas je fais un caca nerveux, d’ailleurs j’ai loupé mon début de saison parce que j’ai pas pu joué où j’avais envie.....tout cela pour jouer dans le club concurrent

    le foot s’apparente en matière de transfert à du poker menteur ....Et l’attachement des joueuers aux maillots , aux régions , aux " choix de carriere sportive " ne sont que pure galéjades que nous gobons parceque nous sommes malgré tout et en dépit , passionnés...

  8. volpone60
    2 août 2011 à 07h05

    vu comme cela....c’est vrai bien sûr......

  9. takac
    2 août 2011 à 10h40

    entièrement d’accord ,l’amour du maillot n’existe pas en pro.................seul le chèque de fin de mois a de l’importance.....le reste ne vient qu’au secon plan

  10. johhnyrep
    2 août 2011 à 11h24

    A anomyme 35, que tu désignes Angloma comme meilleur latéral droit du stade rennais, c’est ton droit le plus absolu.
    C’est évident qu’en classe pure il n’y a pas photo, mais de la à ce que tu nommes ce joueur comme meilleur latéral du stade rennais alors qu’il n’a effectué qu’une seule saison en tant que pro ( 31 matchs lors de la saison 86/87) cela prête à discussion....
    tu avoueras que c’est quand même dur de marquer l’histoire d’un club alors que tu ne restes qu’un an dans celui ci.
    quand à Réveillère, perso il ne m’aura jamais marqué. Techniquement bon et ayant une excellente vision du jeu, néanmoins, je trouve qu’il manque singulièrement de caractère, un peu trop effacé
    Enfin, comme dit la chanson, à chacun le sien

  11. klose35
    2 août 2011 à 11h24

    pour le match...moi non plus je ne le sens pas....un promu chez lui en debut de saison sait qu il doit prendre des points....bon d un autre cote c est Dijon....3 points obligatoire...car apres c est le PSG et toute la machine merdiatique qui sera en branle puis Montpellier...a y regarder de plus pres oui il faut IMPERATIVEMENT 3 points a Dijon......

  12. Sylvain
    2 août 2011 à 14h20

    Il ne faut pas oublier non plus qu’Angloma n’évoluait pas à ses débuts au Stade rennais comme arrière droit, mais comme milieu de terrain. C’est plus tard qu’il a été replacé en défense.

  13. takac
    2 août 2011 à 14h22

    évident mon cher KLOSE....mais sans buteur ????????????

  14. seb29
    2 août 2011 à 16h08

    contre dijon je vois 1 nul au mieux. C’est clair qu’il faudrait prendre les 3 points pour commencer ! C’est sur ce genre de match qu’il va falloir faire la différence si on veut bien figurer cette saison. Surtout qu’après c’est le Qatar St Germain qui débarque,bien qu’il vaut mieux les jouer maintenant que dans 2 mois, ou là la machine sera bien huilée avec des joueurs qui auront plus d’automatismes du fait qu’ils auront appris à se connaitre. Je partage l’idée de tarkac que l’on se déplace pour la 1ère journée toujours sans buteur ! help.....

  15. marcoshabalex
    2 août 2011 à 17h16

    le meilleur latéral droit de l’histoire du SRFC : SERGE LE DIZET, qu’on se le dise et certainement celui qui a eu le plus beau palmarès à ce poste là.

  16. Capitaine
    2 août 2011 à 17h56

    à mes yeux, c’est Jean-Claude Lavaud et ses célèbres touches.
    Mais sans doute es-tu trop jeune pour l’avoir connu ;(

  17. takac
    2 août 2011 à 19h43

    pour moi aussi ,c’est LAVAUD .il avait le style des arrières offensifs actuels et était très athletique

  18. vincent
    2 août 2011 à 19h56

    Le stade rennais va aller se rappeler au bon souvenir de Carteron, avec une belle victoire pour Rennes , on va lui montrer la différence qu’il y a entre la ligue 2 et un club du top 5 de ligue 1.

  19. volpone60
    3 août 2011 à 09h40

    Klose, moi non plus le match , je ne le sens pas plus que cela .....comme tous les matchs de début de saisons , il peut y avoir des surprises....

    Mais cependant on ne va pas non plus commencer le championnat en ayant peur de jouer contre Dijon

    déjà que bcp ici avaient peur du déplacement en georgie ( relisez les com d’avant match)

    Rennes fait partie des cadors de la L1, il faut d’entrée de jeu , montrer aux promus et autres cadors que l’on va encore être présent ! que l’on va encore taquiner le podium !

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