Stade rennais - Troyes / Toko Ekambi : « Ça fait du bien, avec la victoire à la clé »

Après la victoire rennaise, Karl Toko Ekambi s’est arrêté en zone mixte.

Doublé : Oui ça fait du bien, avec une victoire à la clé. C’est une belle performance, ça nous rapproche de nos objectifs, on est contents.

Deux buts d’attaquant : Oui c’est clair, je pense qu’il a raison, on a eu pas mal d’occasions où il manquait cette petite dernière passe, le bon déplacement. Sur les deux occasions, je suis bien placé et j’arrive à la mettre au fond. C’est bien, je suis content.

Jouer en numéro 9 : C’est le poste où j’ai le plus joué dans ma carrière donc forcément je me sens plus à l’aise, j’ai besoin de moins de temps pour m’adapter. Après je suis toujours à la disposition des coachs et des clubs. Quand on me met pour jouer, je joue.

En prêt : Compliqué ? Non, car c’est mon métier, je suis dans un club formidable avec des gens très biens. Je suis heureux, heureux de faire ce que je fais. Il y a beaucoup de gens beaucoup moins chanceux que nous. Je suis content de faire ce que je fais, je vais le faire jusqu’au bout. Je pense qu’on sera tous contents à la fin.

L’Europe se jouera à l’extérieur : Elle va aller se chercher de partout, chaque match est important. Tous les points sont importants. La semaine à Ajaccio, on a un objectif, eux n’en ont plus malheureusement. Il va falloir qu’on montre un visage conquérant pour aller récupérer les 3 points là-bas.

Doublé : C’est la récompense de ce que je travaille énormément depuis plusieurs semaines. Je n’ai pas eu l’occasion de jouer titulaire, le coach m’a fait confiance. Je l’ai remercié de la meilleure des façons et c’est bien pour la suite.

Joueurs qui refusent de jouer avec le maillot arc-en-ciel pour lutter contre l’homophobie : Je n’en pense rien, chacun fait comme il veut, chacun pense comme il veut.

Pas sur la photo du début de match : Je ne vois même pas de quoi vous parlez franchement, moi j’étais en train de faire mes straps donc chacun pense comme il veut.

Un combat difficile dans le vestiaire : Non non moi je n’ai pas de combat, moi je fais mon métier, je fais mon travail, là on a gagné notre match et là je rentre à la maison.