Après chaque rencontre du Stade rennais, découvrez le dessin de RV sur Stade Rennais Online.
Aujourd’hui, retour sur la victoire du Stade rennais face à Montpellier (3-0) dimanche après-midi au Roazhon Park. Rennes, dans un nouveau dispositif en 3-4-3, a renoué avec le succès après deux défaites.
KINGHUB
17 septembre à 10h20C’est plutôt un 5-2-3 déguisé en 3-4-3. Je ne vois pas ce que Assignon et Truffert apportent au milieu.
solos
17 septembre à 10h31kinghub revoit le match assignon à passé son temps devant, même les touches étaient joué par les défenseur centraux
Dodo
17 septembre à 11h29C’est le système le plus souvent utilisé par Stephan pendant sa maigre carrière
Quel intérêt d’avoir recruté autant de milieux de terrains ?!
Dodo
17 septembre à 11h30Simonneaux le plus courageux comme d’habitude le seul a vraiment dire les choses
Gavard parle du public comme s’il s’agissait d’une sous catégorie alors qu’il en fait lui même partie
Lolo 58
17 septembre à 12h44D’accord une défense à cinq ok
Mais alors rajouter 2 milieux défensifs c’est trop, il n’y a plus de jeu
Le football c’est avant un spectacle
Alors avec ce système on se fait.....
CondateFan
17 septembre à 13h07Oui enfin tout ça c’est une question de Nîmes à Sion, nous dit-on. Même si on a jamais vu de crocodile dans la bourgade suisse. Bref, à part Ciro Blazevic, à qui les historiens du jeu attribuent la paternité de la défense à trois et, dans une moindre mesure, le Calcio qui a comme tradition depuis des décennies maintenant de voir une majorité de ses équipes évoluer dans ce système avec, peut être pour les ritals, une certaine nostalgie du rôle du Libero, ce schéma tactique ne fonctionne jamais mais semble connaître une espèce de regain d’intérêt, un peu comme la « mode vestimentaire » revient de matière cyclique, et s’offre de nos jours tel un dernier recours à n’importe quel coach sans idée. Deschamps l’a utilisé avec l’ EDF. Le Grand-Mou quand ça n’allait plus. Et maintenant c’est au tour du Bouainou. Et pas la peine de préciser que le machin tactique du Bouainou se situe à des années lumières du 3-4-3 de Xabi Alonso. L’exception qui confirme la règle. Avec plutôt une espèce de 3-4-3 losange mais très carré au milieu pour l’espagnol qui permet de densifier cette zone clé du terrain quand Julien Le Bouainou, lui, laisse une paire peu complémentaire se débrouiller seule exposant ainsi son équipe à une vulnérabilité certaine dans l’axe. Et face à Lens, même vêtu d’une armure pour se protéger des piques, le Bouainou pourrait bien verser quelques larmes de crocodile avant une démission souhaitable, nous dit-on.
tiouz
17 septembre à 19h053-4-3, 4-4-2, 4-3-3, 5-3-2... Tout ces schémas me laissent de marbre. Il faut que les rôles soient clair et compris. Le libéro libère, le stoppeur stop, le buteur marque, un milieu récupérateur qui récupère et un créateur qui anime, et l’ailier déborde. Pas compliqué le foot.
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