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Stade rennais - Monaco : le point sur le groupe

Thomas Rassouli 3 octobre 2024 à 13h31 3 commentaires

Avant la réception de Monaco samedi, Julien Stéphan a fait le point sur ses troupes.

Alors qu’une nouvelle trêve internationale se profile, le Stade rennais a un dernier match à négocier avant de couper pendant une semaine. Monaco et sa bonne forme depuis le début de saison se présente, face à un SRFC qui tâtonne et patine.

Pour cette rencontre, Julien Stéphan a fait le point sur son groupe en avant-match. « Personne n’est forfait pour le moment ». Meister a pris un coup et ne s’est pas entrainé ces 2 dernières séances. Jota et Gomez ont fait quelques séances et restent incertains.

3 commentaires

  1. Campesien35
    3 octobre à 14h49

    Jota et Gómez incertains...ça commence à faire long. Et ensuite une nouvelle trêve ! On va arriver en novembre, impossible d’avoir un semblant de certitude sur le potentiel de cette équipe après 3 mois de compétition. C’est trop long. Un retard à l’allumage très préjudiciable. À qui la faute ? C’est quoi l’équipe-type ? On ne peut pas être satisfait de ce démarrage poussif qui obère les possibilités d’un classement pour une place européenne. C’est cet aspect là qui me déplaît fortement.

  2. Marcel Loncle
    3 octobre à 14h58

    Peut-être Juju sera-t-il illuminé par la grâce. Pas la pauvre Grace de Monaco, puisque cela fait longtemps qu’elle n’est plus de ce monde, mais celle qui vient du ciel, qui tient lieu de miracle. Au fond, pourquoi pas ?

  3. Dodo
    3 octobre à 15h11

    Personne n’est forfait mais 3 joueurs sont forfaits
    Nous sommes habitués maintenant à ces antiphrases
    De la même manière nous avons les pleurnicheries en conférence de presse, la notion de temps : le génie a besoin de temps, ou encore le choix du 3-4-3 d’abord à cause du mercato puis finalement à cause du manque de leadership…parler d’arbitrage après Paris alors que le PSG est largement meilleur que nous et qu’on aurait pu en prendre 5 sans Mandanda (pourtant critiqué par les scribes locaux)
    Bref le génie breton parle son propre langage, un mélange de suffisance, d’assurance car papa travaille avec DD et frérot est président de l’unfp, ajoutez à cela de la mauvaise foi, une communication maladroite et une absence totale de remise en question et vous serez aptes à comprendre l’énergumène
    Ah oui j’oubliais la meilleure phrase la semaine dernière : « Faye et Ahamada commencent à arriver au moment où ils pourraient être prêts » Henri Beyle aurait été jaloux d’une telle phrase

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