Avant de recevoir Monaco, Julien Stéphan est revenu sur la gestion d’Albert Gronbaek.
Recruté cet été, Albert Gronbaek a tout de suite séduit les supporters du Stade rennais. Le numéro 7 arrivé de Bodo/Glimt était il faut le dire aussi en jambes puisqu’il était en pleine saison au moment de rejoindre Rennes, et d’y débuter la préparation estivale. Titulaire pour les 5 premières journées de Ligue 1, l’international danois a cédé sa place à Amine Gouiri sur l’aile gauche à Paris, ce que Julien Stéphan a expliqué en conférence de presse.
« C’est très positif. On l’a vu tout de suite. Lui est arrivé physiquement très frais, dynamique et avec une grande motivation pour montrer ses qualités », pose le coach, avant de poursuivre.
« L’enjeu qu’on va avoir avec Albert, et je pense qu’il faut communiquer dessus pour que tout le monde le comprenne et l’entende, c’est qu’il a commencé sa saison au mois de février et qu’il va la terminer au mois de mai prochain. Avec 5-6 jours de récupération à Noël. Il va falloir qu’il soit performant pendant un an et demi, ce qui est hors norme. Et pendant les trêves internationales, on ne peut pas lui accordé de repos nécessaire puisqu’il est maintenant international A. On doit nécessairement aménager certaines choses pour que pendant un an et demi on ait un joueur performant et qu’il n’y ait pas un énorme trou entre novembre et janvier là où d’habitude lui a une coupure. Je vous explique pourquoi de temps en temps il sortira de certains matchs, pourquoi il n’en débutera pas certains aussi ».
Julien Stéphan a également « traité ce sujet avec lui ». « C’est dur à entendre car il est en pleine possession de ses moyens, mais on est en octobre. Je ne veux pas qu’en décembre on ait perdu un joueur car on l’aurait sur-utilisé, ou pire, qu’on le blesse ».
Marcel Loncle
4 octobre à 11h11Question aux affranchis de SRO : qui peut me dire ce qu’est un bouainou ? Je lis partout ici que Stéphan en est un et que chacun d’entre nous est celui de l’autre. Avant de pouvoir commenter, j’aimerais bien savoir de quoi on parle même si j’imagine que ce n’est pas un compliment.
Paulo
4 octobre à 12h13Un seul homme peut répondre à votre Question ............Voir CONDA .........
CondateFan
4 octobre à 12h56Et voilà que ça le reprend, il ne peut pas s’en empêcher. Dès qu’il parle, il se projette vers l’avenir : « on doit nécessairement aménager certaines choses pour que pendant un an et demi on ait un joueur performant... je vous explique donc pourquoi de temps en temps il sortira de certains matchs et pourquoi il n’en débutera pas certains aussi...je ne veux pas le perdre en decembre ».
Mais en décembre il ne sera plus là, non pas Grondbaek, mais Le Bouainou.
Car comme le sait très certainement Marcel Loncle, un Bouainou est, par définition, un travailleur saisonnier dont les résultats ne sont pas palpables. Avouez que not’ Bouainou coche toutes les cases quand-même.
Et puis ce nom a connotation gallo, je sais pas mais ça lui donne presque un côté sympa, lui qui n’est pourtant pas là pour nous faire plaisir.
Mimi
4 octobre à 14h19En gallo un bouainou ,c est un travail bâclé par une personne
Rodrigues
7 octobre à 11h54Exprimez vous comme si vous aviez un enfant face à vous et qu’il soit en mesure de comprendre vos"mots clés".C’est assez compliqué...
Et merci pour la définition qui, mis en application perd tout son sens. Vous vouliez nous embrouiller en fait.. c’est FAIT. ON NE COMPREND PLUS... ET MERCI !!!!!!!!!!!!!!
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