Interrogé dans les colonnes de Ouest-France, Pierre Dréossi a, comme Frédéric Antonetti hier, fait un bref point sur les dossiers rennais du mercato.
Comme le nouvel entraîneur rennais, le manager général a reconnu que la piste menant à Mevlüt Erding était « difficile, surtout que le joueur a donné sa priorité à d’autres clubs ».
Précédemment, l’international turc avait dit ne vouloir partir de Sochaux que pour atterrir dans l’un de ceux qu’il considère comme les plus grands clubs français, à savoir Lyon, Paris et Marseille.
Hier, le président sochalien Alexandre Lacombe a déclaré avoir reçu une offre du Stade Rennais légèrement inférieure à 10 M€ pour son joueur. Chose que Pierre Dréossi a également confirmé.
Autre cible rennaise, l’attaquant niçois Loïc Rémy. Là aussi, les choses semblent compliquées. « Tous les bons joueurs nous intéressent. Cristiano Ronaldo aussi, mais ça n’a pas pu se faire », a ironisé Dréossi.
Aux dernières nouvelles, Nice ne serait pas disposé à lâcher le néo-international, souhaitant bâtir une équipe autour de lui pour la saison prochaine.
Enfin, il s’est confirmé hier que le jeune Damien Le Tallec souhaitait quitter la Bretagne. Des états d’âme qui semblent exaspérer Dréossi. « J’ai autre chose à faire que de m’occuper de Damien Le Tallec », a lâché le manager général.
Dans une rectification apportée sur le même site ayant publié son interview hier, le joueur a précisé que ce qui le « saoûlait » était « notamment le fait de disposer d’un contrat pro mais de ne jamais [s]’entraîner avec le groupe pro », mais qu’il avait en-dehors de ça « beaucoup de respect pour le Stade Rennais qui [l]’a formé et [lui] a permis d’accéder à l’équipe de France ».