Stade rennais - Le Havre : « Il y a des attentes », Stéphan et les joueurs réagissent aux sifflets du public
Publié le 26 octobre 2024 à 00h08 parAprès la fin de match marquée par les sifflets et l’absence de clapping malgré la victoire, l’entraineur et les joueurs ont donné leur sentiment.
Stéphan : Il y a des attentes. On n’a peut-être pas répondu à toutes les attentes du public ce soir, en tout cas s’il a réagi comme ça. Il faudra que ça nous motive davantage pour répondre encore mieux à ces attentes. Je pense aussi que c’est aussi une fin de match un peu difficile en terme de maitrise et ça a peut-être donné ça. Mais dans ce moment là, il faut quand même bien prendre conscience et ce qui est essentiel pour nous c’est la victoire. Il faut la souligner, la retenir, elle est vraiment importante. La bascule dans ces cas de figure là ne se fait jamais par quelque chose qui devient tout de suite flamboyant. J’espère, j’envisage, et on a travaillé beaucoup pour encore s’améliorer et pouvoir les satisfaire davantage.
Wooh : On sait que c’est un public exigeant, ils ont beaucoup d’attentes, c’est normal. On essaye de faire le maximum, se donner à fond, mais pour l’instant n’est pas celui qu’on voudrait avoir. Mais bon, il y a les 3 points et par la suite je pense que ça va aller mieux.
Seidu : On les comprend, ils ont beaucoup d’objectifs et on les entend. Ils sont avec nous pendant les matchs. C’est à nous de continuer de gagner et de les embarquer avec nous.
Des sifflets venus des tribunes et pas de clapping pour les joueurs après la victoire face au Havre. Rare et symbolisant la situation particulière actuelle.#SRFCHAC #SRFC pic.twitter.com/EtvJLB9tTR
— Thomas Rassouli (@ThomasRassouli) October 25, 2024
Vos réactions (1 commentaire)
CondateFan
26 octobre à 16h52On entend souvent, et Katell Lagrée l’a d’ailleurs précisé sur le plateau de Pleine Lucarne la semaine dernière, ou la semaine d’avant, me rappelle pu, que, peu importe le schéma, ce qui compte, c’est l’animation. Sauf que ce n’est pas vrai. L’animation découle de la formation tactique. Et avec Le Bouinou, on a affaire à quelqu’un qui suit bêtement, après avoir lu le « guide tactique pour les nuls », le plan à la lettre. Et là, je dois avouer que dans la vrai vie je suis à la pâtisserie ce que Julien est à la tactique. Car moi aussi, je suis bêtement les instructions de la recette, sans créativité, passivement, bête et discipliné, et, croyez le ou pas, mes madeleines sont fades, sans relief et tout simplement inbouffables. Nan mais pourtant j’ai des supers ingrédients, du bon matosse mais, allez savoir pourquoi, ça ne fonctionne pas. Chui un veritable Bouainou , un vrai cake en cuisine. Oui, je suis nul pour faire des gâteaux, mais je ne suis pas pâtissier, moi, dans la vrai vie. Julien, si tu vois ce que j’veux dire ?
Et on ferme la bouche quand on mange, merci, c’est plus poli.