Emmenez-nous voir la sixième !

Publié le 9 avril 2012 à 21h34 par Sylvain

Coupe de France, Quevilly - Stade rennais, mercredi à 20h55. S'ils se qualifient face à Quevilly ce mercredi, les Rouge et noir peuvent offrir à leurs supporters la sixième finale de Coupe de France de l'histoire du club. Retour sur les douze demi-finales disputées jusqu'à présent par le Stade rennais.

1919 : Une première manquée

Le Stade rennais dispute sa première demi-finale de Coupe de France en 1919. L’époque est bien évidemment très différente. Pas de professionnalisme, pas de championnat de France digne de ce nom, et les Rennais se disputent avec l’US servannaise (actuelle US Saint-Malo) le droit de prétendre au titre de meilleure équipe bretonne.
C’est dans ce contexte que la Coupe de France a été créée en 1917, et commence à obtenir son aura de compétition mettant sur un pied d’égalité tous les clubs de l’hexagone. Quart-de-finaliste pour la première édition, le Stade rennais parvient en 1919 en demi-finale. Opposés au CASG Paris sur le terrain de la route de Lorient, les Rouge et noir rivalisent, et manquent de peu la finale. Plus réalistes, les "Banquiers" (surnom donné aux joueurs de ce club fondé par la Société générale) l’emportent sur un penalty sifflé en toute fin de match pour une main flagrante d’un défenseur. Le triplé réussi par le Rennais Charles Moulin n’aura servi à rien, les Rouge et noir laissent échapper la finale (3-4).

1922 : À la surprise générale

Trois ans plus tard, c’est à Paris, au stade Pershing, que le Stade rennais retrouve les demi-finales. Et il est loin de partir favori face à l’Olympique de Paris, l’un des grands clubs de la capitale, qui compte dans ses rangs de nombreux internationaux dont Jules Dewaquez, buteur attitré des Bleus.
Emmenés par leur gardien fougerais Charles Berthelot, en état de grâce ce jour-là (et qui s’ouvrira par ce biais les portes de l’équipe nationale), les Rennais vont pourtant créer la surprise, et de belle manière. Devant, l’attaquant Jean Caballero est également dans un grand jour, et marque trois buts à Maurice Cottenet, le gardien de l’équipe de France. Au final, une victoire nette et sans bavure (3-0), qui offre au Stade rennais sa première finale nationale. Malheureusement, une autre équipe francilienne, le Red Star, ne laissera aucune chance aux Stadistes lors de celle-ci (0-2).

1935 : La victoire mais le dépit

Les choses ont bien changé quand, en 1935, Rennes retrouve la saveur d’une demi-finale. Le professionnalisme a été instauré trois ans plus tôt, et le Stade rennais évolue désormais en première division. À l’issue d’un parcours sans fausse note, il ne fait qu’une bouchée du SC Fives (équipe professionnelle de la métropole lilloise, l’un des ancêtres de l’actuel LOSC). Au Parc des Princes, le score reste nul et vierge jusqu’à la mi-temps. Mais, dès le retour des vestiaires, l’attaquant allemand Walter Kaiser, pièce-maîtresse du dispositif offensif stadiste, ouvre la marque. Un doublé de Georges Boccon assure ensuite la victoire aux Rennais (3-0).
Mais, au-delà de la victoire, le principal fait marquant de cette rencontre reste la grave blessure de Walter Kaiser, qui se fracture la cheville lors d’un choc avec le gardien adverse. Lourdement touché, Kaiser mettra plus d’un an à rejouer. En finale, sans lui, ses partenaires ne font pas le poids face à Marseille, s’inclinant sur trois buts marqués dès la première mi-temps (0-3).

1959 : Le long déplacement

Le Stade rennais met ensuite plus de vingt ans avant de s’illustrer de nouveau en Coupe de France. En 1959, alors entraînés par Henri Guérin, les Stadistes parviennent finalement en demi-finale, grâce notamment à un doublé de Mahi, en quart de finale contre l’Olympique lyonnais (3-2).
C’est d’ailleurs sur les terres de l’attaquant algérien qu’a lieu la demi-finale. Disputée obligatoirement sur terrain neutre, il est décidé qu’elle aura lieu à Oran, en Algérie française, face au FC Sochaux. Les deux équipes doivent donc traverser la Méditerranée pour s’affronter. Très vite, malheureusement, les Doubiens vont se détacher au score, le Suédois Yngve Brodd puis l’international Julien Stopyra (père de Yannick) donnant un avantage de deux buts aux Lionceaux. En seconde mi-temps, l’ailier Guy Méano réduit le score, sur un centre bien prolongé de la tête par Mahi. Méano qui, quelques minutes auparavant, avait déjà cru égaliser avant de voir son but invalidé par l’arbitre. Défaits (1-2), les Rennais ne joueront pas la finale à Colombes.

1965 : Une symphonie sans fausse note

En 1965, le Stade rennais va produire en demi-finale ce qui reste certainement comme l’un des matchs les plus aboutis de son histoire. Face à lui au Parc des Princes, se présente pourtant l’AS Saint-Étienne, champion de France en titre. Passés maîtres dans l’art de l’offensive, les Rouge et noir de Jean Prouff vont littéralement assommer les Verts, ne leur laissant aucune chance d’atteindre la finale. À la mi-temps, les Rennais mènent déjà 3-0. Claude Dubaële et Giovanni Pellegrini (auteur d’un doublé) ont fait la différence au tableau d’affichage. Mais, au-delà du score, c’est l’esprit offensif rennais qui ravit le public parisien. « Oubliez le 3-0, recommande Jean Prouff à ses joueurs à la mi-temps. Attaquez comme si votre vie dépendait d’un seul but. Ce soir, vous devez conquérir Paris, beaucoup plus que par une simple victoire. Le triomphe est là, ne le laissez pas s’échapper ».
De fait, les Rennais, au sommet de leur maîtrise collective, continuent leur festival en seconde période. Et si le score reste bloqué à 3-0, les Stéphanois n’auront pas pu rivaliser, et auraient même pu concéder trois buts de plus avec davantage de réussite. « Ce n’est pas dans mes habitudes, mais je vous félicite tous. Vous étiez les plus forts », reconnaît l’international Robert Herbin, capitaine des Verts. Au terme de ce match, les Rennais se sont mis le public parisien dans la poche. Celui-là même qui assistera un mois plus tard au premier succès rennais dans l’épreuve, face à Sedan (2-2 a.p. puis 3-1).

1967 : Sochaux, la bête noire

Après la conquête de son premier trophée, l’effectif de Jean Prouff ne parvient pas à renouveler son exploit. Sorti en huitième de finale par Reims la saison suivante, il bute en 1967 sur... Sochaux en demi-finale, décidément sa bête noire à ce niveau de la compétition. Pour tout dire, il faut deux matchs aux Sochaliens pour se débarrasser des Bretons, les deux disputés au Parc des Princes. À l’issue du premier, les deux équipes se séparent sur un score nul et vierge (0-0 a.p.). Un match d’appui est donc nécessaire, à une époque où les tirs au but n’existent pas encore.
Silvester Takač ouvre le score pour Rennes dès le quart d’heure de jeu, mais Sochaux va très vite recoller, puis se détacher irrésistiblement. Intenable, l’attaquant luxembourgeois Ady Schmit réalise le triplé, concrétisant un festival sochalien auquel participe également son coéquipier Guy Lassalette. Gilbert Robin, le gardien rennais, n’est pas à la fête, d’autant qu’il commet une grosse faute de main sur le quatrième but franc-comtois.
Dans les dix dernières minutes, les Rouge et noir sont pourtant tout proches de recoller au score. Takač profite d’un centre de Cardiet pour réduire la marque, avant que Jean-Pierre Darchen, dans la foulée, ne porte le score à 4 buts à 3. Malheureusement, le tableau d’affichage n’évoluera plus, et Sochaux se qualifie pour la finale.

1970 : La première pierre du second triomphe

Quand il retrouve pour la second fois Saint-Étienne en demi-finale, le Stade rennais peut déjà grandement se réjouir d’avoir été aussi loin dans la compétition. Tout le début de la saison 1969-1970 a été pourri par de gros problèmes financiers pour le club, accompagnés de moments très difficiles sur le plan sportif. La défense est alors catastrophique, et le Stade rennais pointe piteusement en queue de classement. L’arrivée d’un nouveau président à la tête du club, Jean Rohou, et un recrutement réussi durant l’hiver (arrivée de Marcel Aubour dans les buts) vont finalement redresser la situation.
En plein renouveau, les Rouge et noir se taillent un joli bout de chemin en coupe. Brest, Sochaux, Lyon et Limoges sont successivement éliminés. Puis arrive la demi-finale et donc Saint-Étienne en face. Comme cinq ans plus tôt, les Verts sont champions de France en titre, et sont même cette fois sur le point de réaliser le doublé. Mais en demi-finale, les Rennais sont loin de se laisser faire lors de cette confrontation désormais disputée en match aller-retour. Saint-Étienne s’impose d’une courte tête à Rennes, grâce à un but très précoce de Salif Keita (0-1), mais a toutes les peines à confirmer ce succès devant son public de Geoffroy-Guichard. Certes, Larqué ouvre le score pour les Verts, mais Serge Lenoir parvient à obtenir un match nul méritoire (1-1). Une élimination qui reste logique pour les Rennais, mais à l’issue d’une belle résistance, qui pose les bases de leur succès de 1971.

1971 : La "baraka" d’Aubour

Dans les esprits, cette demi-finale reste comme l’un des plus grands moments de l’histoire du Stade rennais. Cette fois, c’est l’Olympique de Marseille, futur champion de France, qui se dresse face aux Rouge et noir de Jean Prouff. Face à Josip Skoblar et consorts, les Bretons ne doivent logiquement pas faire le poids. En championnat, quelques jours plus tôt, ils ont même été balayés 0-5 au Vélodrome, l’attaquant yougoslave réussissant alors un quadruplé.
Mais la chanson n’est pas la même pour la manche aller de cette demi-finale, et les Rennais tiennent bon à Marseille. Les Olympiens s’imposent (0-1), mais leur avance est maigre, et tous les espoirs restent permis avant le match retour. Dans un stade de la route de Lorient plein comme un œuf, les deux équipes se rendent coup pour coup. Charly Loubet ouvre le score pour Marseille, ce qui oblige Rennes à marquer par deux fois (la règle de l’avantage donné aux buts marqués à l’extérieur n’existe pas encore). L’extraordinaire se produit alors. Arrivé de Lyon en janvier, l’international André Guy égalise peu avant la mi-temps. Mieux, il donne avantage et prolongation au Stade rennais, en réalisant le doublé peu après l’heure de jeu (2-1). Les trente minutes supplémentaires ne donnant rien, les Rouge et noir doivent disputer la première séance de tirs au but de leur histoire.
Une loterie qui tourne à leur avantage. Marcel Aubour, le Tropézien de naissance, se montre impérial, repoussant les tentatives de Kula et Hodoul. Ce dernier arrêt donne la qualification à son équipe, dans une ambiance indescriptible route de Lorient. En finale, les Rennais gagneront, de façon logique, face à Lyon, la deuxième Coupe de France de l’histoire du club (1-0).

1986 : Marseille prend sa revanche

Beaucoup d’eau a coulé sous les ponts lorsque le Stade rennais retrouve une nouvelle fois l’OM en demi-finale de Coupe de France. Le vieux club breton est passé tout près de la disparition pure et simple à la fin des années 1970, et tente alors tant bien que mal de retrouver son rang dans l’élite, après plusieurs saisons en Division 2. Marseille a lui aussi connu des années noires, étant placé en liquidation judiciaire en avril 1981, et passant également par plusieurs saisons en D2. 1986 marque un renouveau, le club se retrouvant alors à l’aube de l’ère Tapie.
Comme en 1971, les deux équipes jouent le match aller au Vélodrome. Comme en 1971, c’est Marseille qui l’emporte sur la plus courte des marges (0-1, but d’Antonio Martinez). Autant dire que l’on croit au bégaiement de l’histoire côté rennais, avec le rêve d’accéder à une nouvelle finale de Coupe de France. Un rêve d’autant plus vivace que Mario Relmy ouvre le score pour le SRFC, peu avant l’heure de jeu, lors du match retour. Alors que les deux équipes se retrouvent à égalité parfaite, l’OM va finalement briser le doux rêve rennais dans le dernier quart d’heure. L’attaquant sénégalais Abdoulaye Diallo égalise, et enterre les espoirs des 25.000 spectateurs présents. C’est Marseille qui se qualifie cette fois-ci (1-1).

2003 : Regrets éternels

Longue est encore l’attente avant de retrouver une nouvelle fois les demi-finales. Dix-sept ans exactement. Dix-sept ans avant que ce ne soit finalement Vahid Halilhodžić qui emmène le Stade rennais à une marche du stade de France. Mais, en lui offrant Auxerre, le tirage au sort n’a pas épargné des Rennais qui s’apprêtent à boucler une saison éprouvante, marquée par une lutte de tous les instants pour le maintien.
L’année précédente, Christian Gourcuff a échoué en demi-finale de la Coupe de la Ligue. L’entraîneur bosnien ne fera pas mieux en Coupe de France. Il est vrai qu’en jouant Auxerre à l’Abbé-Deschamps, le morceaux proposé est conséquent. En pleine bourre, l’AJA peut compter sur la génération des Mexès, Boumsong, Kapo, Fadiga ou Djibril Cissé. C’est d’ailleurs ce dernier qui sera le bourreau des Rouge et noir, ouvrant le score, puis profitant d’une inhabituelle bévue de Petr Čech pour offrir la finale à l’AJA dans le temps additionnel. Le but égalisateur de Sorlin n’aura pas suffi, les Rennais sont éliminés et manquent l’occasion de donner un peu plus de relief à une bien morne saison. « Nous avions une chance de retrouver de l’honneur et de la crédibilité avec cette Coupe de France. Nous sommes passés tout près de quelque chose de grand. C’est un résultat très cruel », regrette Halilhodžić après le match.

2006 : Crucifiés d’entrée

S’il fallait désigner la demi-finale ayant généré le moins de suspense, celle de 2006 peut aisément remporter la palme. Sur le déclin après une impressionnante série de victoires en championnat, les hommes de Laszlo Bölöni s’inclinent dès la première minute du match. Sur une erreur de jugement de Bourillon, Ribéry s’empare du ballon puis s’en va battre Isaksson, qu’il "assoit" après avoir mis une deuxième fois dans le vent le défenseur central mayennais.
Les Rennais n’ont ensuite que peu d’espoir de revenir au score, face à des Marseillais qui assurent tranquillement la qualification devant leur public du Vélodrome. Sur un coup franc à l’entrée de la surface, c’est ensuite Taye Taïwo qui profite d’un trou dans le mur breton pour expédier une violente frappe au fond des filets. En fin de première mi-temps, une contre-attaque conclue par Mamadou Niang achève le reste des espoirs rennais (0-3).

2009 : Une si longue attente

Passés au travers trois fois de suite, les Rennais cette fois emmenés par Guy Lacombe vont enfin réussir en 2009 à obtenir leur billet pour la finale au stade de France. Face à des Grenoblois novices à ce niveau mais surmotivés, la tâche n’est pourtant pas facile, d’autant plus dans leur antre du stade des Alpes.
Au prix d’un match serré, tendu, ce sont finalement les Rouge et noir qui parviennent à tirer leur épingle du jeu. En première mi-temps, à la suite d’un ballon disputé de la tête par Thomert face au gardien grenoblois Ronan Le Crom, c’est Moussa Sow qui en profite pour ouvrir la marque de la tête. Par la suite, malgré plusieurs occasions grenobloises, malgré la blessure de Nicolas Douchez - remplacé à la pause par Cheick N’Diaye -, rien ne sera plus marqué (1-0). Solide, pragmatique, l’équipe de Guy Lacombe se rend à Saint-Denis sans avoir tremblé. Sans même avoir encaissé de but tout au long de son parcours depuis les trente-deuxièmes de finale. Malheureusement, on connaît la suite...


Grenoble / Rennes 0/1 Demi Finale de la Coupe de... par eric38640

Crédit photo : Fabien Séris

Vos réactions (22 commentaires)

  • XxXTheFoxXxX

    9 avril 2012 à 22h59

    superbe article de notre parcours dans cette superbe coupe de france, en espérant que ce sera la bonne pour cette année 2012....

    Allez Rennes

  • Doudou

    10 avril 2012 à 00h17

    La pression commence à monter !

  • the miz

    10 avril 2012 à 10h16

    Très bon article !

    C’est quand même dommage de mettre une demi finale de coupe de France en pleine semaine !

    Je souhaitais aller a Caen mais quand tu te lève le lendemain a 3h15 pour aller bosser....

    merci la fédé !!!!

    Allez Rennes,j’ai confiance !!!!!!

  • anonyme35

    10 avril 2012 à 10h32

    the miz et the fox qui « ont confiance » .....

    manquerait plus que Syracuse , aillier , le gars du 76 et celui de 29 s’en mêlent ! Ce serait l’union sacrée !

    bon il est évident que je vous taquine !

    On sera de toutes façons tous derrière eux , optimistes et pessimistes réunis.....

  • nostra

    10 avril 2012 à 10h45

    Quelle ambiance pour cette demi finale contre marseille en 71 !!! ça donne des frissons de voir le peuple breton ainsi réunit derrière son équipe !! Ce qui m’etonne le plus c’est cette ambiance bon enfant quand on voit par exemple le président de l’om à la mi temps coiffé du chapeau breton, une autre époque...L’époque ou le football était ce qu’il n’aurait jamais dû cesser d’etre : un jeu. Bonne chance aux rouges et noirs pour demain, nous sommes tous derrière vous !!

  • och_bzh

    10 avril 2012 à 10h59

    Malgré les rares averses annoncées mercredi soir Place du Parlement, soyons nombreux devant l’écran géant !
    J’espère que ce sera - stressant que contre Grenoble il y a 3 ans.
    Et Allez Ajaccio ! Une finale Bretagne / Corse serait sympa.

  • Laloose35

    10 avril 2012 à 12h33

    Ce n’est pas à eux de nous emmener au stade de France par contre c’est à eux de nous la ramener place de la mairie pour nous la montrer cette putain de coupe !!!

  • fg56

    10 avril 2012 à 12h59

    ils ont intéret de gagner ,sinon avis aux amateurs ,je vendrai 4 places pour la finale.la pression commence à monter !!!!

  • yan59

    10 avril 2012 à 13h10

    fg56 comment peut tu déja avoir 4 places ?

  • Dirk diggler

    10 avril 2012 à 13h13

    Salut a tous,
    Petit bémol pour le match,l’arbitre sera Tony Chapron. Aie aie aie...
    Un des plus mauvais et sévère arbitre de France (alias mister balai dans le cul). Il doit etre huissier ou CRS celui-là. J’ai peur pour Doumbia ou Montano si ils sont amenés a jouer.
    Si on joue avec coeur et sérieux ça passera sans probleme.
    Je serais pas a d’Ornano mais de tout coeur avec les rennais sur place.
    C’est cette année !!! on doit la vouloir plus que tout.
    ALLEZ RENNES, ALLEZ LES ROUGE ET NOIR !!!!

  • papa tango sharlee

    10 avril 2012 à 14h29

    il n’y a pas de place a vendre encore , bref , trop hate de voir qui ce qualifie ce soir et surtout de voir rennes JOUER j’aimerais un petit de pitroipa !!!! j’adore ce joueur !

  • antoine

    10 avril 2012 à 14h51

    Just un petit mot ! tous les organisateurs de ce matchs peuvent aller se faire voir ! car même avec l’accord des kop, on m’a donc interdis de prendre le car ! alors que je l’ai déjà fais ! c’est franchement honteux ! J’arrive même pas à comprendre ! Ce petit club me dégoute déjà ! Suis je different ? ... Donc par dépit place du parlement pour encore et toujours les encourager et je veux du bruit ! ! ! ! et qu’on les explose ! Et j’aurais un grand plaisir a me foutre de leur gueule ! ! ! Je crois que le sécu du stade rennais va m’entendre aussi !
    Allez Rennes ! ! !

  • keepcool44115

    10 avril 2012 à 16h26

    Bonjour à tous,
    D’abord je tiens à préciser que je suis nouveau en tant que posteur mais je lis vos commentaires depuis des mois donc je ne suis pas amateur ;)
    Ensuite n’allez pas voir mon pseudo comme une quelconque provocation, je suis sur Nantes, mais bel et bien rouge et noir de coeur (je suis rennais d’origine ^^). Cela étant précisé je tiens à donner mon avis à mon tour.

    Je crois déjà que le SRFC se montrera vigilant demain soir, ils ont conscience qu’il s’agit du match phare de cette fin de saison (le plus important tout du moins).
    Illustration : l’envie et la gnac de Mvila de gagner un trophée avant de quitter son club formateur, l’occasion lui est offerte et je prédis qu’il va jouer à un très haut niveau demain.
    De plus, depuis le début de la compet, ils ont tous été dans le même sens, aucun joueur n’a été en dessous ou à fait preuve d’un quelconque relâchement ou manque de motivation (contrairement au Mans).
    Enfin, la chance semble être avec nous : les tirs aux buts à Nice (bien qu’on aurait du gagner le match beaucoup plus tôt) reste une loterie quoiqu’on en dise, la barre de Barbosa (je crois ?) contre ETG nous permettant de se qualifier, les cadeaux incroyables de VA et éviter Ajaccio chez eux (qui pour moi aurait été le pire tirage, je plains les lyonnais, vraiment).

    Bref tous les ingrédients semblent donc réunis pour pouvoir aller au bout de cette compet, ou du moins en finale déjà !
    Ensuite j’aurai une préférence pour Lyon en finale et non Ajaccio. La raison est simple :
    1/ La place de finaliste sera européenne
    2/ La finale en sera que plus prestigieuse (et on ne sera pas en position de favori, chose que l’on a parfois du mal à gérer)
    3/ On connait les lyonnais, on les joue régulièrement (et ils nous réussissent assez). L’ascendant peut être côté rennais pour le coup. Et même si Lyon a l’expérience de ces matchs là, une victoire hypothétique de leur part en CDL peut leur enlever ce « surplus » de motivation qu’aurait une équipe ajaccienne (pleine de grinta), je dis pas qu’ils prendraient le match à la légère par contre.
    Enfin avec l’expérience Europa league, je suis sur que celle ci va payer demain et sans doute en finale.

    M’enfin place au jeu, allez les joueurs livrez nous un beau combat à d’Ornano mercredi. Kenavo !

  • Bibi peau de chien

    10 avril 2012 à 16h48

    Bienvenue à toi Keepcool44 . On est heureux ’d’accueillir un confrère de forum , surtout si c’est un inconditinnel du Stade . Et vive les « Rouges & Noirs » jusqu’au stade de France .

  • 10 avril 2012 à 16h50

    Malgré le temps de cette fin d’A.midi , restons tous motivés pour aller à Caen et faire du bruit , (même s’il faut être décalqués au boulot jeudi matin). Le S.R.F.C. a vraiment un bon coup à jouer demain soir , tous au bus à 17 h 00 !!!

  • angus0735

    10 avril 2012 à 17h19

    bonjour

    juste une precision la place de finaliste est qualificative pour le tableau de
    l’europa league ( la coupe de france donne au vainqueur l’acces a ce tableau sans barrage ou qualif) a la condition que le vainqueur soit qualifie pour la champion’s league et seulement a cette condition. et pour le moment personne n’est assure de la 3eme place .
    donc il faut battre les « culs jaunes » demain et gagner au stade de france
    ALLEZ RENNES

  • fg56

    10 avril 2012 à 17h22

    en reponse à certaines personnes j’ai reservé mes billets auprès de la ligue de bretagne de football par mon club de foot, mais il fallait les reserver avant le 30 mars donc j’espere que le risque va etre payant (j’avais tellement galeré pour en avoir en 2009 ) .allez le stade cette fois jusqu’au bout !!!!!

  • Blacknight

    10 avril 2012 à 17h33

    Je viens de me regarder le résumé vidéo de la finale contre Guingamp, je suis triste...

  • 10 avril 2012 à 18h23

    victoire obligatoire !!!

  • battjack

    10 avril 2012 à 18h24

    Antoine,

    Je veux bien comprendre ta déception,mais tes propos haineux et insultant ne t’ honore pas.Ton comportement n’incite pas à t’aider pour trouver une solution à ton problème.
    Il y a suffisamment d’imbéciles sur les stades pour en retrouver sur ce site reconnu pour la qualité de ces articles.

  • XxXTheFoxXxX

    10 avril 2012 à 19h26

    anonyme35, je ne suis pas confiant, sur un match de coupe, tout est possible, mais au porte de la finale, on est obligé d’y croire et de tout donner une nouvelle fois pour son équipe.

    Je suis prêts à partir à caen demain, et avoir mes tests sportifs le lendemain au boulot....

    Allez rennes

  • antoine

    11 avril 2012 à 09h25

    Battjack je crois que tu n’as pas tout saisi ! et la je ne demande plus d’aide vu que le match est ce soir et je remercie ceux qui ont tenté des trucs ! Pourquoi des qu’on met un mot au dessus de l’autre on es un mauvais supporter ingrat qui doit etre interdit de stade ? n’importe quoi ! Je suis quelqu’un de très calme en plus qui n’a pas voulu trop hausser le ton au tel car c’était toujours une jeune demoiselle ;) ... Mais ils m’ont juste mentis puis ridiculisés ! je ne me plaind jamais mais la c’est discriminatoire car j’étais le premier a demandé des places et elles m’ont été autorisées puis d’un coup retirées ! tiens mais comme c’est bizarre ! ça sert a rien de faire du blabla si tu ne m’a pas lu avant (et il n’y a rien de mechant dans ce que je dis là)mais voila il y a pas de haine ! c’est direct les grands mots ! ça aussi c’est enervant ! je veux juste qu’on passe en finale et plus qu’aisement !

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