Montanier : « Je suis surpris par le traitement des médias nationaux »

Publié le 31 janvier 2014 à 13h54 Stade Rennais Online

La conférence de presse précédant le match entre le Stade rennais et l’Olympique lyonnais (dimanche à 17h) s’est tenue vendredi matin après la séance d’entraînement à la Piverdière. Une conférence de presse à l’issue de laquelle Philippe Montanier, « surpris par le traitement des médias nationaux » concernant Rennes, a tenu à faire le point par rapport à deux articles publiés récemment dans la presse au sujet du club breton.

L’entraîneur du Stade rennais a tout d’abord réagi à un article de L’Équipe daté du vendredi 24 janvier, et qui faisait notamment état de « divergences de vue » entre le staff technique et Jean-Luc Buisine, directeur du recrutement, concernant les joueurs ciblés par Rennes lors du mercato, ainsi que d’une certaine méfiance à l’égard de la cellule de recrutement... dans laquelle figure le fils de Pierre Dréossi. « Ce que je lis ne correspond pas à la réalité. On parle d’une mauvaise ambiance, mais je trouve que c’est le contraire. Au quotidien, je vois des salariés investis et attachés à leur club. Ils nous aident beaucoup. J’ai également lu que j’étais en conflit avec Jean-Luc Buisine. C’est complètement faux », a commenté Montanier, dans des propos rapportés par le site officiel du Stade Rennais Football Club.

Le technicien normand est aussi revenu sur le dossier publié mardi par France Football sur les derniers entraîneurs rennais, et en particulier sur les attaques de Frédéric Antonetti à l’égard de la famille Pinault. « Concernant les propos tenus sur l’actionnaire, je les trouve injustes. Dans l’histoire du club, il y a eu un avant et un après M. Pinault. La famille Pinault a beaucoup investi ces dernières années. On peut encore l’observer durant ce mercato ». « Ce que j’ai lu ne correspond pas à la réalité », conclut Philippe Montanier.

Mise à jour 16h30 : Le site officiel du Stade Rennais Football Club, alerté par les journalistes Jacques Guyader (Ouest-France) et David Thomas (Le Télégramme), a remplacé le terme « médias » par celui de « médias nationaux », prononcé par Philippe Montanier.