Jean Vincent, le « sorcier » de l’Ouest
Publié le 13 février 2013 à 12h05 parEn marge de la rencontre opposant le Stade rennais au LOSC, pour le compte de la 25e journée du championnat de France de Ligue 1, Stade Rennais Online vous propose de revisiter la carrière stadiste d’une personnalité commune entre les deux clubs, en l’occurrence celle de Jean Vincent.
Troisième de la Coupe du Monde 1958
Né le 29 novembre 1930 à Labeuvrière dans le Pas-de-Calais, Jean Vincent demeure certainement l’un des plus grands personnages de l’histoire du football français. Attaquant racé, il effectue ses premiers pas de footballeur au sein de l’Étoile Sportive de Labeuvrière, le club de sa ville natale. Rapidement mis en lumière sur tous les terrains nordistes, il poursuit sa formation à l’US Auchel. Dans la foulée, il devient Champion d’Europe juniors aux Pays-Bas en 1949. Trop fort pour le club auchellois, Jean Vincent donne son accord à Lille, où il signe un premier contrat professionnel à l’âge de dix-neuf ans. Ailier gauche élégant et talentueux, il joue son premier match chez les « grands », le 27 août 1950 face au Red Star. Après une première saison de découverte, le jeune nordiste devient rapidement une pièce essentielle de l’offensive lilloise. Malgré son jeune âge, Jean Vincent trouve le chemin des filets à quatorze reprises et participe activement à la belle troisième place de l’équipe nordiste en championnat. Au cours de la saison suivante, Jean Vincent s’offre le premier titre national majeur de son invraisemblable carrière, en remportant la Coupe de France 1953 aux dépens du FC Nancy (2-1). Déjà considéré comme l’un des meilleurs ailiers de l’hexagone, il devient Champion de France l’année suivante. Dans la lignée de ses belles performances en club, il est également récompensé par une première sélection tricolore. Il effectue ainsi ses premiers pas en « bleu » le 17 décembre 1953, lors d’une éclatante victoire française face au Luxembourg (8-0), en match de qualification pour la Coupe du Monde 1954. Auteur ce soir-là d’un doublé, l’ailier nordiste a soigné son entrée en matière avec le maillot frappé du coq. Dans la foulée, il est logiquement retenu pour la compétition reine mondiale, qui se déroule en Suisse. Malheureusement, la France n’y fait pas bonne figure, et est éliminée dès le premier tour. Buteur lors du deuxième match face au Mexique (3-2), Jean Vincent est pourtant l’une des rares satisfactions françaises de l’épreuve. Plus tard, au cours de l’exercice 1954-1955, Lille est balloté en championnat en dépit des quinze réalisations de son ailier gauche. Le club nordiste ne doit d’ailleurs son salut en D1, qu’à son difficile succès lors de l’épreuve des barrages face au Stade rennais. Dans le même temps, la formation lilloise s’adjuge la cinquième Coupe de France de son histoire, après un succès face aux Girondins de Bordeaux en finale (5-2). Jean Vincent dispute ensuite une dernière saison dans le Nord, durant laquelle il marque onze buts pour trente-et-une rencontres disputées. À la recherche de nouvelles sensations, il rejoint alors le mythique Stade de reims, après avoir quitté le LOSC qui file en seconde division. Transféré à Reims à l’aube de l’exercice 1956-1957, Jean Vincent y évolue aux côtés de Just Fontaine et Roger Piantoni, mais pas avec Raymond Kopa, qui vient d’être enrôlé par le Real Madrid. Quelques mois plus tard, Jean Vincent se distingue lors de la première rencontre tricolore de la Coupe du Monde 1958, puisqu’il inscrit le dernier but de l’éclatante victoire française face au Paraguay (7-3). Bien en jambes tout au long de la compétition, l’attaquant nordiste participe pleinement à la belle épopée des « bleus ». Troisième de la Coupe du Monde, l’équipe de France a marqué les esprits. Deux ans plus tard, Jean Vincent est même intronisé Capitaine de la sélection tricolore, et termine à la quatrième place du premier championnat d’Europe des Nations disputé en France. Sa dernière sélection en « bleu » se déroule le 18 octobre 1961, lors d’un match amical en Belgique (3-0). Au total, Jean Vincent aura disputé la bagatelle de 46 matches avec l’équipe de France, et aura inscrit vingt-deux buts entre 1953 et 1961. Pendant ce temps en Champagne, Jean Vincent remporte trois titres de Champion supplémentaires et accroche une deuxième Coupe de France à son palmarès. En 1959, il parvient en finale de la coupe d’Europe des Clubs Champions, mais doit s’avouer vaincu face au Real Madrid (2-0). Pire, il blesse l’emblématique Raymond Kopa lors de cette rencontre et raconte : « Cette histoire me suivra toujours ! c’est en finale de la Coupe d’Europe entre Reims et le Real, j’ai provoqué une entorse à Kopa en le taclant violemment. Mon arrière, Marquitos, auquel je rendais vingt centimètres, n’arrêtait pas de me donner des coups hors des actions de jeu. J’ai fini par me « l’offrir ». Sur la bousculade qui s’en est suivie, j’ai ouvert l’arcade à Mateos et sur le coup-franc accordé au Real, j’ai blessé Kopa qui venait de recevoir la balle. Je ne crois pas qu’il m’en garde rancune. Chaque fois que l’on se voit, il se dirige vers moi en boitant et me dit : « Tu sais, j’ai toujours mal, avec un petit sourire aux lèvres ». Lors de la saison 1963-1964, Reims termine 17ème de D1 et est relégué dans l’antichambre de l’élite. Jean Vincent décide alors de mettre un terme à sa carrière professionnelle de joueur.
Lille, saison 1954-1955
Un immense palmarès
Blindé de titres, il se lance ensuite dans une carrière d’entraîneur, qui le mène successivement à Caen (alors en CFA), puis à la Chaux-de-Fond en Suisse pendant plus de trois ans, et enfin à Bastia en 1971. L’expérience sur l’île de beauté n’est pas concluante, si bien que l’ancien rémois tente une nouvelle aventure la saison suivante à Lorient, qui évolue à l’époque en D2. Il reste quatre saisons dans la cité des cinq ports, et y obtient de très bons résultats, eût égard au faible budget du club morbihannais. Deux fois troisième de seconde division, Jean Vincent et les « Merlus » ratent de peu l’accession en D1. Sa belle histoire dans l’Ouest de la France ne fait d’ailleurs que commencer. Considéré comme un apôtre du beau jeu, Jean Vincent prend la destinée du FC Nantes en 1976, alors que le poste semble taillé sur mesure pour Jean-Claude Suaudeau. L’entraîneur nordiste ne boude alors pas son plaisir : « Lorsque j’ai appris que Nantes s’intéressait à moi, alors que j’étais à Lorient, je me suis demandé si je ne rêvais pas. Je venais souvent de Lorient pour voir jouer Nantes : j’étais devenu supporter de cette équipe et je me souviens de mon énorme déception lorsqu’elle a été battue en finale de Coupe par Lyon en 1973. Il faut m’accepter comme je suis. Je ne me prends pas tellement au sérieux. Mon seul but est que tout le monde soit heureux autour de moi et pour cela, il faut obtenir de bons résultats ». Seul hic, il ne vient pas du sérail nantais. En effet, il a lourde tache de succéder à l’emblématique José Arribas, parti à Marseille. Et il en a bien conscience : « À notre époque, les postes d’entraineur étaient occupés, en majorité, par des hommes relativement âgés, des hommes d’expérience. Actuellement, pour un Firoud, un Arribas ou un Flamion, qui ont dépassé la cinquantaine, on trouve, en D1, dix entraineurs de moins de quarante ans et les autres n’ont pas beaucoup plus. On voit des joueurs arrêter leur carrière à trente-deux/trente-cinq ans et prendre immédiatement la direction d’une équipe de haut niveau. Il y a seulement dix ans, ça ne se faisait pas » et de rajouter : « Lorsque j’ai été limogé de Bastia, je suis retourné chez moi dans le Nord et pendant six mois, j’ai entrainé bénévolement les équipes de jeunes du Stade Béthunois. Je n’aurais pas supporté de rester quinze jours sans ballon ni entrainement ». Fraichement débarqué sur les bords de l’Erdre, Jean Vincent n’hésite pas à faire confiance aux jeunes pousses du club comme Eric Pécout, Bruno Baronchelli ou Loïc Amisse notamment. La réussite est rapide. le FCNA devient Champion de France à l’issue de l’exercice 1976-1977, avec même neuf points d’avance sur le RC Lens, son dauphin. Nantes est ainsi couronné le 1er juin 1977, après un énième succès face à Saint-Étienne (3-0) au stade Marcel Saupin. L’attaque ligérienne a été également la plus prolifique de D1, avec 80 buts inscrits. Il explique les raisons de ce succès : « Ce n’est plus tout à fait le même Nantes. On calcule. On compte. C’est indispensable. Si les circonstances sont favorables nous assurerons le spectacle, sinon le nouveau FC Nantes doit avoir une mentalité de vainqueur ». Plus tard, avec « Coco » Suaudeau comme adjoint, Jean Vincent fait perdurer la tradition du fameux « jeu à la nantaise ». À l’époque, le FC Nantes se distingue déjà par un jeu résolument tourné vers l’offensive, et par une impressionnante force collective. Digne héritier de José Arribas, Jean Vincent a su allier l’enthousiasme, à un superbe vivier de jeunes talents. Dans la foulée, Nantes remporte sa première coupe de France face à l’AJ Auxerre de Guy Roux (4-1 après prolongations) en finale, et un second championnat en 1980. Jean Vincent est satisfait : « En arrivant à Nantes je leur avais demandé ce qu’ils attendaient de moi. Ils m’avaient répondu : une victoire en Coupe de France. Tout le monde a donc trouvé son compte et c’est très bien ainsi » avant de préciser avec humour : « Il ne nous reste plus qu’à gagner la Coupe d’Europe. Lorsque je suis éveillé, je pense énormément à la Coupe des Coupes ! Je rêve de la gagner et nous allons la gagner ! ». Hasard du destin, le FC Nantes est tout près de la remporter, mais doit s’incliner en demi-finale de la Coupe des Coupes, face au FC Valence de l’inénarrable Mario Kempes (2-1 puis 0-4). Peu importe, le FC Nantes écrase tous les records. Invaincu à domicile entre 1976 et 1981, le club ligérien termine encore vice-champion de France en 1981.
FC Lorient, exercice 1972-1973
« Des joueurs qui gagnent ne sont jamais fatigués »
À cette époque, Jean Vincent continue à lancer de nouveaux jeunes dans le grand bain : « Je vis avec les joueurs, je les connais. En 1976, cela semblait monstrueux de préférer Baronchelli à Gadocha mais à l’entrainement, je pouvais juger les hommes et je savais que je ne prenais pratiquement aucun risque. Au contraire, le risque aurait consisté à maintenir le statu quo. Cette saison, Ayache a joué en Coupe d’Europe, Touré aussi. Attendez la saison prochaine, beaucoup de nos jeunes joueurs seront opérationnels et je n’hésiterai pas à refaire le « coup de 1976 » si cela s’avère nécessaire. Les joueurs le savent bien ». Mais Jean Vincent commence pourtant à être contesté dans les arcanes du club, si bien qu’il cède sa place le 3 mars 1982 au profit de Jean-Claude Suaudeau. On lui reproche alors de trop privilégier le réalisme à la beauté du jeu. Après six années passées chez les « Canaris », Jean Vincent prend en charge la destinée des « Lions indomptables » durant le Mondial espagnol 1982. Le Cameroun termine invaincu, mais ne passe cependant pas l’obstacle du premier tour de la compétition reine mondiale. À l’aube de l’exercice 1982-1983, Jean Vincent succède au « pied noir » Pierre Garcia, et prend les rênes du SRFC qui évolue alors en D2. Il précise de suite ses ambitions : « Les dirigeants du Stade Rennais m’ont appelé pour un seul objectif : la montée ! comme ceux de Nantes m’avaient demandé de gagner la Coupe de France. C’est un pari passionnant qui convient parfaitement à mon tempérament de battant ». Par la même occasion, il devient aussi le premier entraîneur de l’équipe première n’ayant jamais été joueur au club depuis cinquante ans. Il prévient cependant : « La réussite passe par une bonne homogénéité de l’ensemble, l’effectif ayant été renouvelé à 50%. Certains joueurs vont se dégager du groupe. Ils seront les meneurs et c’est à moi de savoir tirer les meilleures qualités de chacun ». Bingo, la saison rennaise s’avère exceptionnelle. En effet, le club breton reste même invaincu pendant dix-neuf matches consécutifs. Jean Vincent explique le bon parcours stadiste : « Nous sommes plus à l’aise dans le jeu à l’extérieur plutôt que chez nous. Nous essayons de maintenir nos adversaires à une trentaine de mètres de nos buts pour mieux partir en contre. Dans ce système de jeu, nous sommes très outillés pour déclencher les attaques et les conclure. Un joueur comme Pierre Sither peut rester un long moment sans toucher le ballon et, brusquement, nous gagner le match en cinq minutes ». Grâce notamment à l’efficacité de son impeccable duo Vicky Péretz (17 buts) - Farès Bousdira sur le front de l’attaque, le SRFC retrouve la D1, après six saisons passées au purgatoire. Pour son retour parmi le gratin hexagonal, Jean Vincent est optimiste : « Tout a été fait pour réussir ce retour à partir d’un recrutement cohérent et très riche : Hiard, Marais, Horsmann, Mazur, Stopyra, Bezzaz. Avec ceux-là et les anciens, soutenus par un public dont on connait l’influence, la réussite doit être au bord de la route ». Malheureusement, la saison rennaise s’avère catastrophique malgré les neuf réalisations de Yannick Stopyra. Jean Vincent analyse alors les échecs : « Mazur. Nous pensions que cet international polonais, expérimenté, malin, allait marquer beaucoup de buts. Il a fallu attendre dix-neuf rencontres pour voir le premier. J’ai perdu patience et je l’ai remplacé par le jeune M’Fédé qui a apporté un peu d’imagination et de vivacité à notre attaque. L’autre échec concerne l’allemand Horsmann. L’ancien joueur du Bayern devait être le patron de l’équipe. Il n’a pas su prendre ses responsabilités. J’ai dû rapidement le replacer en défense centrale après l’échec de la formule qui avait mise en place en début de championnat ». Lanterne rouge de D1, le SRFC retrouve l’antichambre de l’élite. Jean Vincent est finalement remplacé par Pierre Mosca au terme de la saison 1983-1984. Il s’exile ensuite au Maroc, où il devient Champion avec le Wydad Casablanca en 1986. Il devient ensuite sélectionneur de l’équipe de Tunisie entre 1986 et 1987, mais est démis de son poste à la suite de nombreuses défaites. À partir de 1988, Jean Vincent organise des stages destinés aux jeunes footballeurs, qui se déroulent à Saint-Brevin-les-Pins. Il prend finalement sa retraite en 1995.
Sa carrière en bref
Joueur :
1943-1946 : ES Labeuvrière
1946-1950 : US Auchel
1950-1956 : Lille OSC
1956-1964 : Stade de Reims
Entraîneur :
1964-1967 : Stade Malherbe de Caen
1967-novembre 1970 : FC La Chaux-de-Fonds (Suisse)
mars 1971-novembre 1971 : SC Bastia
1972-1976 : FC Lorient
1976-mars 1982 : FC Nantes
mars 1982-juillet 1982 : Sélectionneur du Cameroun
1982-1984 : Stade rennais FC
1984-1986 : Wydad Casablanca (Maroc)
1986-1987 : Sélectionneur de la Tunisie
Sources :
- forum footnostalgie
- Wikipedia
- « La Grande Histoire du football en Bretagne » de Georges Cadiou
- Archives Ouest France
Sources photos :
- srfc.frenchwill.fr
- forum footnostalgie
Vos réactions (14 commentaires)
Louis G
13 février 2013 à 13h30C’est à la radio et plus précisément au moment de l’épopée de l’équipe de France en Suède en 1958 et aussi par Ouest-France que j’ai appris à connaitre Jean Vincent...puis je l’ai vu jouer contre le Stade Rennais avec l’équipe de Reims comme ailier gauche...c’était impressionnant sa pointe de vitesse et donc sa rapidité à aller vers le but adverse !...mais Jean Vincent m’aura aussi laissé une bonne impression comme entraineur...lui , le grand joueur , était très simple et n’hésitait pas à devenir entraineur des équipes de 2ème division (Lorient , Rennes...)...et de ce point de vue , c’était aussi pour moi un grand et bon éducateur...
Le Bivice V
13 février 2013 à 13h40J’adore les anecdotes de Louis G, toujours très intéressantes. Trop jeune, je n’ai ceci dit pas connu ce Jean Vincent, mais sa carrière d’entraîneur au FC Nantes laisse rêveur.
L’étoile brille au sommet
13 février 2013 à 20h51Quel bel article sur Jean Vincent, et le rappel de son passage comme entraineur de Rennes.
Souvenir de Vicky Pérez un très bon avant centre, mais pourquoi n’a-t-il pas accompagné le stade Rennais en D1
Comme je m’en souviens de ce Vicky, (j’aurais du prendre son nom comme pseudo). Il est aujourd’hui en Israel, et était surpris que deux supporter se souviennent encore de lui à Rennes.
Nous recrutions à sa place Yannick Stopyra un international. Cette année là, j’étais persuadé qu’avec toutes les (bonnes) recrues nous allions au minimum nous maintenir en D1, mais non, la descente, quelle douleur.
Vicky, n’a pas connu la D1, comme VDB, le blond Hollandais que plantait but sur but en D2 avec le stade.
Sur un autre sujet, que deviennent nos pépites du centre de formation, au-delà de Yann et ses frasques, que s’est-il passé avec Brahimi, Kembo, Camara, pour ne parler que d’eux Pourquoi ne peut-on pas garder les Didot, Lemoine, etc...
et plus loin pourquoi Sylvestre et Dabo n’ont pas pu rester à Rennes
Aujourd’hui du meilleur centre de formation de France, il reste KTC et Pageot qui sont titulaires.
Oui je m’interroge sur la formation à Rennes. J’imagine que Rampillon est un super formateur, mais pour qui, pour quoi, quand on sait ce que coute la formation d’un joueur de D1
j ’ai joué avec Jean à l’us Labeuvrière. Quel joueur, mais quel bon joueur ?
Quel talent déjà à l’époque
vincent
14 février 2013 à 15h52Oui mais peu de gens d’ici ont connu cette période....et sinon y a un match ce week end ? les joueurs de la CAN sont de retour ?
Red Boule
14 février 2013 à 16h40Ce que tu peux être bête Vincent... Tu ne t’intéresses donc jamais au passé, à l’histoire ? Tu n’as pas connu les deux guerres mondiales, donc tu t’en branles qu’elles aient fait des millions de morts ?
Mon Dieu... la France est dans de beaux draps avec des énergumènes dans ton genre...
Gweltaz94
14 février 2013 à 17h23Sérieusement Vincent tu n’en as pas marre de polluer tout les articles avec tes messages qui n’ont aucun rapport ? Là on parle d’un grand joueur ayant porter les couleurs de notre club et toi tu viens parler du match de demain. Si l’histoire ne t’intéresse pas libre à toi mais ne viens pas nous emmerder avec tes messages. Merci
vincent
14 février 2013 à 17h36Si mais la y avait peut etre d autres sujets plus d actualités a commenter... il faut reconnaitre que le nombre de commentaire sur ce sujet est limité...
Gweltaz94
14 février 2013 à 17h52Désespérant...
Lamentable
Aucun respect
Aucune valeur
Bref
Bravo pour ce post
Petitpat
@ Vincent, déjà que sur les articles récents du stade, du dis tout et n’importe quoi, alors la, tu as battu des records ! Clique sur la flèche rouge en haut a droite, tu soulageras tout le monde, y comprit ta propre personne.
Benj.
galettes saucisses
14 février 2013 à 21h12vincent le provocateur,tu n’as aucun respect vis a vis des autres,si l’article te plait pas, tu fermes ta............ jean vincent que j’ai tres peu connu,et bien j’ecris rien et j’attends l’article suivant point.En reagissant comme tu le fais ,tu pourris le site,j’ai le sentiment que le fait que l’on parle de toi,te rends jubilatoire.vas sur les sites du PSG c’est la qu’est ta place.tu es jeune et il y a un article sur la gambardella,tu n’as pas ecrit un mot,no comment.G.S.
Pour ton info Vincent, s’il y avait un joueur de la trempe de Jean vincent dans l’effectif, on pourrait peut-être jouer le titre
artmorik
16 février 2013 à 12h31Pour tous les ignares que ce soit pour le foot ou dans nos propres vies , deux points ouvrez les guillemets : Sans passé l’Avenir n’existe pas !
Sur ce , je vous souhaite un bon week-end !